République socialiste tchécoslovaque

Le Printemps de Prague est une période de l’histoire de la République socialiste tchécoslovaque durant laquelle le parti communiste tchécoslovaque introduit le « socialisme à visage humain » et prône une relative libéralisation. Il débute le 5 janvier 1968, avec l'arrivée au pouvoir du réformateur Alexander Dubček et s’achève le 21 août 1968 avec l’invasion du pays par les troupes du Pacte de Varsovie. Dubček introduit la liberté de la presse, d’expression et de circulation dans la vie politique

1960, la République socialiste tchécoslovaque, qui fait partie du bloc soviétique, est dirigée par Antonín Novotný, qui se trouve également à la tête du Parti communiste tchécoslovaque (PCT) entre 1953 et 1968. Ce dernier entame un processus de déstalinisation moins rapide que dans les autres pays d’Europe de l’Est .À l’instar de Nikita Khrouchtchev en URSS, Novotný annonce l’aboutissement du socialisme. Par la constitution de 1960, le pays prend le nom officiel de « République Socialiste de Tchécoslovaquie

..........................................................................11 Jan Masaryk (Marilou).............................................................................................................................14 Michaela Kovac : socialiste (Bianelle)....................................................................................................17 Milada Horáková (Gabriel-Frédéric)................................................................................................

Hrádeček) est un dramaturge, essayiste et homme d'État tchécoslovaque puis tchèque1. Durant la période communiste, il est une des figures de l'opposition à la République socialiste tchécoslovaque en tant que membre de la Charte 77. En 1989, il est une des figures de proue de la révolution de velours, qui met un terme au régime communiste. Il est ensuite président de la République fédérale tchèque et slovaque de 1989 à 1992, puis président de la République tchèque de 1993 à 2003. Politicien atypique, généralement

Histoire : Notes sur la ligne de temps Le Printemps de Prague est une période de l’histoire de la République socialiste tchécoslovaque durant laquelle le parti communiste tchécoslovaque introduit le « socialisme à visage humain » et prône une relative libéralisation. Il débute le 5 janvier 1968, avec l'arrivée au pouvoir du réformateur Alexander Dubček et s’achève le 21 août 1968 avec l’invasion du pays par les troupes du Pacte de Varsovie, Dubček introduit la liberté de la presse, d'expression

La Charte 77 : du printemps de Prague à la « Révolution de velours » Le 5 janvier 1968 débute avec l’arrivée au pouvoir du réformateur Alexander Dubček, une période durant laquelle le Parti Communiste Tchécoslovaque tente d’introduire un « socialisme à visage humain », décrétant la liberté de la presse, d’expression, et de circulation ou encore de l’égalité entre tchèques et slovaques. Ce mouvement libéral inquiète fortement le pouvoir soviétique et provoque une violente réaction. Huit mois

(excessif ?) de liberté, fuit seule pour l’Amérique. Franz n’a jamais compris ce besoin de légèreté et de liberté de Sabina. Il lui est resté toujours dévoué ainsi qu’à l’affaire de la révolution. Le couple Franz (qui n’est pas d’origine tchécoslovaque) et Sabina est le fruit d’un déterminisme culturel, celui qui associe un universitaire à une femme peintre. 4 La mélancolie … La mélancolie est l’état de tristesse accompagné de rêveries. La première fois qu’on trouve Tomas dans un état

de l’Est ) . * La partie est de l’Allemagne subit progressivement la satellisation jusqu’au coup de Prague en 1948 . * En 1948 , on assiste au coup de prague , qui est la prise de contrôle de la Tchécoslovaquie par le régime communiste tchécoslovaque , appuyé par l’union communiste . * La conférence de Londres, qui se déroule du 23 février au 6 mars puis du 20 avril au 7 juin 1948 , amène la création , par fusionnement de l’Allemagne de l’Est , de la RFA . Pour Staline , c’est une rupture

pouvoir ». Admis en 1956, il en sera définitivement banni en 1970. Son premier livre L’homme, ce vaste jardin (1953) est un recueil de poèmes lyriques dans lequel il essaie d’adopter une attitude critique face à la littérature dite « de réalisme socialiste », mais le fait en se positionnant du point de vue marxiste. Quelques années plus tard, il publie Le Dernier Mai (1955), une pièce politique, hommage à Julius Fucuk, héros de la résistance communiste contre l’occupation nazie en Tchécoslovaquie

Courir Fiction - 30/09/2008 Utiliser les éléments biographiques d’un être réel comme combustible romanesque : c’était ce que Jean Echenoz avait déjà fait dans Ravel, qui suivait le compositeur depuis sa tournée américaine jusqu’à son décès. Il réitère avec son dernier livre, consacré à l’athlète tchèque Émile Zatopek, qui régna sans rival sur le 5 000 m, le 10 000 m et le marathon, raflant les médailles d’or de ces disciplines lors des Jeux olympiques de 1952 à Helsinki. A priori, rien de commun