Rhétorique

condition de la considérer dynamiquement, intéresse tant son statut public que la portée universelle de sa question, celle de l’« humanité ». Cette perspective suppose que le texte peut être saisi en tant que relation communicative dans un cadre rhétorique, ce qui ne va pas de soi. Voici un texte dans lequel une autorité institue des normes de droit pour tous les hom­mes et parle seule en leur nom : à quelles conditions peut-il être considéré comme « dialogique », au sens fort d’une communication

Continuité ou rupture chez Roger Caillois Depuis qu’il est pratiqué, l’art de la parole a toujours suscité la controverse. Déjà les Grecs tentaient de poser des distinctions entre rhétorique et poétique afin d’établir ce qui était souhaitable pour l’éducation de la jeunesse. Platon, dans ses dialogues, puis Aristote jetèrent les bases de ce qui allait devenir les règles de l’art oratoire. Les Latins, Cicéron en tête, poussèrent plus loin ces réflexions pour en venir à ce que l’on pourrait

comportement mécanique qui frôle la compulsion. Les hyperboles et les figures d'animalisation ajoutent à l'écoeurement : Gnathon est un véritable porc qui se donne en spectacle sans retenue, sans souci de déplaire ou de choquer. L'amplification rhétorique à visée caricaturale transpose dans l'écriture la boulimie répugnante du personnage. b) Le spectacle de l'inconduite de Gnathon dans le monde : - excès dans les conduites d'aisance - exigences grossières et infondées - appropriation des biens

politique décide de rentrer dans le conflit, ils mobilisent des troupes. Leurs problème : arriver a mobiliser des troupes. Conflit gourmand en vie humaine. Et en argent. I) Les affiches de propagande : Rhétorique : Art de convaincre, tous les moyen mis en œuvre pour convaincre. Argument rhétorique : Argument pour convaincre quelqu’un de faire quelque chose. Argument pragmatique : Argumenter de façon très pratique pour qu’il tirer un avantage pratique. Argument du dépassement : Faire appelle a un

(Descartes). A partir de XVIIème, l’homme va avoir un rapport à la nature qui va changer, un rapport de domination, une volonté d’ordre. Une leçon d’humilité. Texte didactique : « Que » + subjonctif formule de conseil (subjonctif optatif). Questions rhétoriques qui transforment ce texte en discours, elle nous aide à nous interroger, nous renvoient notre ignorance. Imagé. Il prend un objet qu’il décrit minutieusement : crée des images concrètes qui aident à l’imagination et donc à la compréhension. Quand

rendre leur discours d’autant plus insolent. • Discours direct, indirect et indirect libre (v. 4) se mêlent -> vivacité des débats et des exclamations de leur conversation. • Modalités exclamatives (v. 2) et interrogatives (v. 6, 8-9) -> questions rhétoriques soulignant l’inutilité des efforts du vieillard alors que la mort est si proche. • V. 2 : première remarque des jouvenceaux formulée de manière impersonnelle -> le vieillard est écarté de la conversation. • V. 4 : même effet, produit par l’emploi

le pays de façon à se que chacun ait de quoi vivre et se défendre donc assurer la paix et la sécurité du peuple -Vision particulière de l’auteur :selon lui le + puissant n’est pas le plus libre (l13) -Sa conception se traduit entre 2questions rhétoriques car tout ce qu’il a dit auparavant répond à ses questions Les réponses à ses questions se trouvent à la fin de la question -L’idéal de l’auteur est que le roi se soumette au peuple -Berger et Troupeau = connotation religieuse dans ce texte

Ils compléteront cette lecture par celle de « La parabole du jardin » (Dossier, p. 170 sq.). L’accent sera mis sur les idées ainsi que sur les dispositifs argumentatifs et les rhétoriques mis en place : le derviche, le vieil homme et Pangloss utilisent en effet des procédés discursifs très différents. • La confrontation de trois philosophies Avant que le livre se referme, trois philosophies incarnées par des personnages et leur modèle de vie font une dernière apparition. – La parabole du

renard Renard  art de la rhétorique  déguise les crimes du lion en louange L’exclamation et la question rhétorique disculpent le roi  ce qui était un crime  devient un objet d’éloge Abondance de formules obséquieuses + superlatif  flatter le roi Le berger  prétexte pour louanger le lion  qui est tout puissant car le berger se fait un chimérique empire B. L’hypocrisie des animaux puissants La flatterie du renard est applaudie Les animaux puissants  rhétorique similaire  confesser pour

dans les mémoires comme étant le compositeur des Métamorphoses. Vers l’art de la rhétorique Ovide voit le jour en Italie, au sein d’une famille de chevalier relativement aisée. Dès qu’il atteint l’âge requis, il est envoyé à Rome afin de suivre des études de droit. Il continue dans cette voie et se rend à Athènes pour clore sa scolarité. Durant ces années, il s’est surtout démarqué par son talent de la rhétorique, qui le poussera très tôt vers la poésie. Rêveur et curieux, il décide de voyager