Rime

», «je vois ».Le thème de l’érotisme est développé est approfondi par l’évocation de la virilité « Des hommes dont le corps est mince et vigoureux ». L’association de « savoureux » et « vigoureux » par la rime accentue l’aspect érotique, tout comme le mouvement de la « vague marine » qui rime avec les termes « m’enfle la narine », qui est une expression corporelle de l’excitation. On retrouve également les 4 éléments naturels : le feu, la terre, l’eau et l’air à travers les effluves. La présence

Ronsard et Du Bellay ont formulé de nombreux conseils de détail ; ils ont fait eux-mêmes toutes sortes de tentatives. La rime doit être riche et d’autant plus riche que le vers est plus long ; mais on ne doit pas sacrifier le sens du vers à une rime riche. Il faut rimer pour l’oreille et non pour les yeux. On doit éviter les rimes équivoquées, la rime du simple et du composé, la rime d’une syllabe longue et d’une syllabe brève. L’alternance des rimes masculines et féminines, que Du Bellay admet sans

Cassandre. Ronsard a écrit ce poème pour la fille d’un seigneur italien, Cassandre Salviati. Ce poème est une petite ode (poeme lyrique qui parle d'amour) : qui à trois strophes composées de six octosyllabes. Chaque strophe comporte une rime plate, suivie d’une rime embrassée. C'est un poème construit sur un mode dramatique, le poète montre une leçon parce qu'il est conscient de la fuite du temps, il veux faire partager ce sentiment à Cassandre et espère la persuader de partager son amour.

Il change au moment où Julie Charles parle. Il y a alors un changement de rythme qui devient plus rapide. Un vers plus long parait plus lent ! C’est plus monotone Après c’est plus rythmé. 3° question : Les rimes sont croisées a b a b ; la première rime est en – ence - ieux – ence - ieux (répétition d’un même son à la fin de plusieurs vers). Les strophes sont des quatrains : strophe de 4 vers. Une strophe est l’équivalent d’un paragraphe. Ensemble de vers séparés par un espace. Si les rimes sont régulières

→disproportion de cette provocation≠ longue tirade de Cyrano (C. le ridiculise). Ensuite il y a une joute physique ; FIN C. accuse V. d’être sot= privation d’intelligence= champ lexical de l’esprit + intelligence ≠ au mot « SOT » mise en valeur par la rime + « ! ». Utilisation de la négation « vous n’en eûtes jamais un atome ». Syllepse = « vous n’avez que les lettres »= sens concret et sens littéral du mot « lettre ». Emplois de Superlatifs (« le plus lamentable »)= exagération, pathétique Valvert

cinq syllabes. Les poètes modernes se libèrent peu à peu de ces règles : par exemple les poètes français introduisent dans la deuxième moitié du xixe siècle le vers libre puis le verset, et en remettant aussi en cause les conventions classiques de la rime qui disparaît largement au xxe siècle. Des essais graphiques plus marginaux ont été tentés par exemple par Mallarmé (Un coup de dés jamais n'abolira le hasard), Apollinaire (Calligrammes) ou Pierre Reverdy, en cherchant à parler à l’œil et plus seulement

du grave (" cor ", v, 16) ( « voiles » ; « tremblant » ; « attiédi » ; « fouillis » ; « claires ») « la chanson grise » : couleur composés de 2 couleurs contraires mal définie c) la rime Conserve la rime , mais atténuation de son importance « la Rime assagie » . + alternance rime fém. masc. La rime reproche : trop répétitive( assonances et allitérations répartissent les échos phoniques à l'intérieur des vers ( + de musicalité Applications : « plus vague et plus soluble dans l’air » allitérations

envie de lire son poème. Puis en seconde parti on analysera le lyrisme de la nature. Dans un premier temps, L’automne d’Alphonse n’a que des strophes de quatre vers c'est-à-dire des quatrains. Ensuite, il y a une alternance classique de rime masculine et rime féminine tout au long du poème. Au niveau des syllabes, elles peuvent passer d’alexandrin au décasyllabe tout en passant par l’hendécasyllabe. Je pense qu’Alphonse n’avait pas de nombre exact de syllabes, il faisait au feeling et au son lors

en ballade ou en rondeau. Il n'a cervelle ne cerveau. C'est pourquoi si haut crier j'ose : " Qu'on mène aux champs ce coquardeau. " S'il ne veut rien faire de nouveau, Qu'il oeuvre hardiment en prose J'entends s'il en sait quelque chose : Car en rime ce n'est qu'un veau, Qu'on mène aux champs. Date : 1532-1538 Recueil : Les plus belles pages de la poésie française 1982 (Sélection du reader's digest) p. 85. L’auteur de ce poème est Clément Marot, poète du 16ème siècle. Né en 1495 et mort en 1544

fragment de texte. La partie IV du poème est composée de 20 vers. Ces vers possèdent 12 syllabes et sont donc des alexandrins. Les rimes sont toutes suivies et sont pauvres, suffisantes ou riches. Exemples : Rime pauvre : eux-bleus en vers 73-74 Rime suffisante : fois-autrefois en vers 57-58 Rime riche : cheminée-illuminée en vers 59-60 Parmi les thèmes, on retrouve celui des meubles, à travers la grande armoire sans clefs. Ce thème est très présent dans la poésie de Rimbaud. Il est le symbole de la