Rois de Sparte

territoire de la Judée grâce à son alliance avec Alexandre Balas. Simon est alors nommé stratège de la côte philisto-phénicienne et fortifie Jérusalem, tandis que son frère avant d'être assassiné par un général séleucide, envoie des ambassades à Rome et à Sparte afin de renforcer ses alliances. C'est Simon qui prend la suite de l'insurrection. On voit là la mise en place des bases qui permettront à l'Etat hasmonéen de fonder son indépendance, en cumulant des titres auxquels les Hasmonéens n'avaient légitimement

de nombreuse cité par exemple Sparte, qui est divisé en 3 : -La société des égaux : au 6ème siècle ils se sont réunie et on séparé tout le territoire pour que tout le monde est la même propriété de terre. -Les hilotes, des semi-esclaves, des cerfs qui devaient cultiver la terre -Les périèque, les étrangers, eux qui étaient chargé du commerce et de l’artisanat. Dans les égaux les terres se conservé de père à fils, et s’entrainer toujours à la guerre et possède deux rois dans un système de double monarchies

culturelle. C'est à cette époque qu'Athènes fut qualifiée de « capitale (ἄστυ [astu]) de la Grèce » (Isocrate). Rapidement, Athènes transforma la ligue de Délos en un véritable empire qui fut dissous à la fin de la guerre du Péloponnèse qui l'opposa à Sparte. Le philosophe Aristote né en 384 av. J.-C. participa beaucoup à la vie intellectuelle d'Athènes, notamment en rédigeant son traité intitulé Politiques, où il critiqua la démocratie athénienne. La bataille de Chéronée, remportée en 338 av. J.-C. par Philippe

I-Organisation et forces en présence A. L’armée macédonienne L'armée des rois de Macédoine était composée de soldats-citoyens (politikoì stratiỗtai), de mercenaires recrutés sur contrat à court ou long terme, de troupes alliées. L'armée civique, considérée comme la meilleure du monde grec, comprenait elle-même deux composantes distinctes sous Philippe II : d'une part, un noyau de troupes professionnelles formant la garde royale, comprenant une infanterie (les pezétairoi plus tard appelés hypaspistaì

contraire une logique de l’expansion et de l’assimilation. L’horizon de la conquête est de naissance inscrit dans le lien de subordination. Il participe intimement du dynamisme de division politique ”10. Dans la course au pouvoir, ne vaut que “ le roi des rois ”, la volonté de pouvoir entraîne une dynamique expansionniste de l’assujettissement. Le politique scissionne donc les communautés de façon externe : le pouvoir fait des autres communautés des objets tentant pour la domination (pensons à l’empire égyptien

guerre du Péloponnèse et coups d'État Articles détaillés : Guerre du Péloponnèse, Quatre-Cents et Les Trente. L'empire athénien à la veille de la guerre du Péloponnèse L'année -430 marque le début du déclin d'Athènes, la désastreuse lutte contre Sparte conjuguée à une épidémie de fièvre typhoïde, fatale pour Périclès en -429, conduit inexorablement la cité désormais démoralisée à sa perte. L'occupation par les troupes spartiates aboutit au retour de la tyrannie en -411, avec le coup d'État des Quatre-Cents

(guerres médiques de 490 à 479 av JC), 31 d’entre elles vont s’unir (ligue hellénique) et le rôle éminent d’Athènes dans la victoire (Salamine, 480 av JC) va lui permettre de fonder sous son égide la ligue de Délos (477 av JC) tandis que sa rivale, Sparte, refonde la ligue du Péloponnèse. Conclue dans le but (symmachie) de contrer le risque de résurgence de la menace perse , la ligue de Délos va progressivement être utilisée par Athènes qui en est le chef (hegemon) comme un moyen d’exercer sa domination1

philosophe. Il y étudie plus de 158 Etats dont des Etats barbares. Il explique qu’il n’y a pas de système parfait et qu’il y a une dégénérescence cyclique des systèmes politiques. Il dit qu’il y a d’abord un roi, un prince qui vont fonder un Etat. Puis les rois vont se succéder jusqu’à ce qu’il ne dirige plus que par tyrannie. Donc un petit groupe d’aristocrate va renverser le roi pour le bien de la République. Puis progressivement, le groupe va diriger que dans son seul intérêt. Donc le peuple prend alors

et ce depuis l’Antiquité grecque et romaine, n’intéresse pas d’un point de vue politique. Chez les Hébreux, il y a une absence de politique = seul le Décalogue suffit, puisque c’est Dieu qui est le législateur et Moïse est le chef incontestable. Les Rois juifs sont des élus de Dieu et sont sacrés par l’onction = le Roi a une fonction sacerdotale.   Les Grecs ont inventé la politique parce que les Grecs ont inventé la philosophie en tant que recherche de la sagesse. Ils ont inventé la discussion politique

av JC. Le pouvoir appartient à un roi qui est le représentant de Dieu sur Terre/chef de sa ville/il doit faire régner la justice, l'ordre, la paix, protéger les faibles, garantir au peuple la prospérité. Mais il n'est pas divinisé contrairement au rois égyptiens. Le choix du roi est inspiré par les dieux, il reçoit donc le trône, le sceptre et la couronne. A ses côtés se développe une administration complexe et structurée. Ces cités-états doivent obéissance au souverain dont le pouvoir absolu repose