Royauté Franque

Chapitre 1: Les royautés franques (5es - 9es). I. Rappels historiques. De nombreuses invasions barbares débutent, une sorte de migration des peuples de l’est qui commencent a entrés dans l’empire romain qui se retrouve assez vite submergé. Le roi des Wisigoth, Alaric 1er finit par entrer dans Rome et la pille. Sachant qu’il ne peuvent lutter, l’empire décide de les intégrer à l’armée romaine. De plus, une autre menace plus grande plane avec les huns commandés par Attila chef sanguinaire

dépositaire de la souveraineté, souveraineté qu'il exerçait au nom de l'état. Ainsi à l'époque romaine la notion d'état servait à assurer la continuité du pouvoir et elle donnait un fondement à l'autorité impériale. Tout au contraire, à l'époque franque, sous les mérovingiens, le roi considère le pouvoir royal comme sa propriété au même titre et dans les mêmes conditions que les autres éléments de sont patrimoine. On a une confusion entre les notions de propriété privée et la notion de souveraineté

autant, ce roi ne peut pas se démunir de tout ce qu’il possède car s’il est ruiné, il paraitra pour un individu pauvre et c’est la richesse qui le distingue aussi des autres. Il doit donc maintenir un équilibre. Le caractère militaire de la royauté franque, et plus particulièrement mérovingienne, va se marquer symboliquement. En effet, il existe certains symboles: d’abord, le roi mérovingien possède une lance qui est le symbole de son pouvoir. Par ailleurs, le roi est élevé sur le pavois, un énorme

La royauté Mérovingienne (481-751) Au Vème siècle plusieurs royaumes barbares voient le jour en Gaule. Mais l’un d’entre eux, celui de Clovis, celui des Francs réussit rapidement à assurer son hégémonie, sa suprématie. Son chef, roi des Francs depuis 481, parvient à établir sa domination sur la Gaule, en battant les Wisigoths en 507 lors de la célèbre bataille de Vouillé. Or Clovis et ses successeurs mérovingiens, développent une conception personnelle et patrimoniale du pouvoir. Reposant sur

proche de la basilique car la suite se passe au sein de celle-ci, avec la présence d’un évêque. Un roi reconnu devant Dieu « Jusqu’à l’autel où était déposés les insignes de la royauté ; le glaive avec le baudrier, le manteau, les bracelets, le bâton avec le sceptre, la couronne ». Remise des objets de la royauté par l’évêque, ce qui reconnaît son autorité royale sur le territoire et donc devant dieu. (Évêque est un messager Dieu, fait le lien entre le roi et le divin). A la fin, il le couronne

qualités par lesquelles Il mérite les louanges. Ces attributs sont tous relatifs à Sa royauté. Celle ci dénote également que tout ce qui existe est Sa propriété, les créaryres sont toute Ses esclaves, ils dépendent entièrement de Lui... Rien ne pourrait échapper à Sa royauté, aucune créature ne pourrait dispenser de la création et des soins provenant d'ALLAH, ni de Ses faveurs ou de Sa protection. La royauté d'ALLAH inclut également le fait qu'Il descende Ses livres et dépêche Ses messagers..

INTRO : La figure du Roi est un thème récurrent dans les Pensées de Pascal. Le roi, la royauté sont souvent des sujets de comparaisons et de critiques. Nous nous sommes donc interrogés sur les différentes figures que pouvait prendre le Roi : D'abord il est envisagé comme un véritable souverain qui impose le respect à son peuple. Mais c'est également un homme fragile, qui connait les mêmes doutes et se pose les mêmes questions que n'importe quel autre être humain. Et enfin nous nous rendrons compte

moderne notamment au 1e siècle après JC En droit public : L’état romain contient tous les modernes des états occidentaux. du 8e siècle av JC au 5e siècle après JC, Rome connaît une succession de régimes différents : une royauté aristocratique (grandes familles), une royauté tyrannique, une république (à partir de 509 av JC), un empire tempéré, un empire théocratique (bas empire). Un vocabulaire politique a été légué a l’occident : notion d’état, intérêt public, République, magistrat, juge

AUTORITÉ ROYALE ET FÉODALITÉ (XÈME – XIIÈME SIÈCLES) Trois structures a priori antagonistes vont s'opposer chacune à leur manière à l'autorité seigneuriale, c'est à dire au système féodal et à ses relations féodo-vassaliques. La royauté, l'Église ensuite, les villes enfin. L'objectif du roi est de s'appuyer sur le modèle féodal afin d'instaurer un pouvoir de type souverain s'appliquant à l'ensemble de la population. Pour l'Église, il s'agit d'assurer sa vocation universaliste en s'opposant à l'éclatement

rébellions ». En second lieu les prérogatives de l’intendant s’étendent aussi à l’administration des finances de la généralité, domaine d’ailleurs de prédilection de Turgot. Ainsi l’intendant doit contribuer au recouvrement des recettes de la royauté en administrant la levée des impôts et diverses taxes sur sa généralité : (l. 25) « tenir la main à ce que nos droits d’aides se lèvent dans ladite généralité en la forme prescrite par les édits, déclarations, règlements ». L’intendant a aussi pour