Royauté Franque

adoptée en tant qu’un symbole de la royauté française puisque l'utilisation d'un tel signe était une indication que le monarque contrôlait son empire par la volonté de Dieu. Les membres de la royauté française  étaient censés personnifier les vertus, qui signifiaient la perfection, la lumière et la vie. La fleur s’est développée lentement en un symbole non seulement de la royauté française, mais aussi de la France, bien que son utilisation se soit étendue à la royauté dans toute l'Europe comme un symbole

absolu du pouvoir royal Absolu: Princeps legibus solutus=> 1er des citoyens, porte parole/ lier par les lois/ Absolutus: délier des lois qui entraient son pouvoir. La période de la royauté faible est illustre par Louis VI le gros lorsqu'il se fait capturer par des brigands. La royauté va avoir besoin de s'appuyer sur le pouvoir des grands seigneurs, illustré par Phillipe Le bel qui a besoins des états généraux pr s'opposer au pape, mais aussi et surtout par Charles VII qui a besoin

son apparition tient de son exigence qu’exigence son établissement. L’imposition d’un système juridique uniformisé et centralisé est inséparable de celle d’un pouvoir étatique impersonnelle développé et organisé. Or au début du XIVème siècle, la royauté peine à exercer toute l’étendue de son pouvoir particulièrement perceptible dans le domaine judiciaire. Sous les premiers capétiens, la chancellerie est en effet modeste et peu organisé. Elle est comprise dans la curia regis. De ce point de vue, le

se considérait comme propriétaire du domaine. A) Le principe d’inaliénabilité En 1566, une manifestation juridique officielle de la théorie de l’inaliénabilité se tient. L’édit de Moulins est publié : c’est un règle législative officielle de la royauté française qui fixe définitivement le principe d’interdiction d’aliéner le domaine. Il fixe la façon dont il faut considérer les biens publics. L’Etat nait. On fait alors une distinction entre le domaine fixe et le domaine casuel. En outre, si ce principe

Le système politique en Angleterre et en France A la fin du XVII iéme siècle . Dans la même époque mais complètement différente, la France et l'Angleterre se diffèrent selon leur royauté , leur droit et leur constitution . Tout d'abord, Dans la France de Louis XIV , la monarchie est absolue , Louis XIV n'a de compte à rendre à personne qu'a Dieu.Cela signifie qu'il est le maitre des pouvoirs telles que judiciaire , législatif , éxecutif et d'autant plus religieux car ses droit lui ont été attribué

mais ils peuvent être condamnés à leur sortie de charge à l’initiative des nouveaux éphores. Etre éphore est donc la fonction politique la plus haute. Les deux Rois : ἀρχαγέται La royauté spartiate est peut être du a d’anciens ancêtres. Il y a une double monarchie, deux rois sont sur le trône. Cette royauté est héréditaire, deux familles royales sont au pouvoir les Agiades et les Eurypontides. Mais entre ces deux familles existent une rivalité parfois hostile. Ils ne peuvent pas s’unir, en

Roy » Les ordonnances de Charles VI de 1403 et 1407, décident que le Roy serait tel dès la mort de son prédécesseur, instantanément et quel que fût son âge selon l’ancien adage : « le mort saisit le vif » : le sacre n’est plus constitutif de la royauté mais simplement déclaratif aux yeux des légistes, seule la force de la coutume faisait le Roy. Ce qui fait dire que « en France, le Roy ne meurt jamais ». La règle de la catholicité Le Roy de France est oint par le sacre. Il doit donc être

déraisonnables et extravagantes de la mode c- Conséquences de la mode les changemt de la mode sont tels qu’ils modifient totalement la silhouette, l’apparence : « piédestal » à changement de hauteur II - Une critique de la Haute Société et de la Royauté a- la Haute Société moutonnière et superficielle « on ne saurait croire cbn il en coûte à un mari pr mettre sa femme à la mode » à gde dépense pr le physique et l’apparence : superficialité Modification de l’architecture pr permettre aux femmes

juridique en faveur du dauphin et de maintenir la couronne entre les mains d'un capétien. -intérêt du texte : L'intérêt de ce texte écrit par Jean Juvenal des ursins est de dénoncer le traité de Troyes de 1420 en s'interrogeant sur l'exercice de la royauté, c'est à dire les modalités de sa possession et sa transmission. L'historien cerne sur les règles qui la conditionnent ainsi que les principes qui en découlent (indisponibilité de la couronne, inaliénabilité du domaine, plus tard continuité du pouvoir

Limitations de la royauté[modifier]Bien qu'elle se manifeste par des aspects sacrés, la royauté exerce un pouvoir politique qui est presque toujours distincte du pouvoir religieux1. Bien qu'elle se manifeste aussi par une très grande richesse, elle ne participe pas non plus au pouvoir économique2. La royauté semble se limiter à une fonction de représentation (pouvoir d'incarner l'unicité de l’État et de traiter avec les autres États), de paix (intérieure et extérieure) et de justice. À la limite