Ruisseau

presse »/ « lentement » rapide et lent. _ On a des métaphores filées pour l’apprentissage : La nature (2ème strophe) à partir du vers 13. Elle permet de visualiser des concepts abstraits. Le « ruisseau » est le bon rythme de l’écriture VS  le « torrent » qui est le mauvais rythme car il est trop rapide. Avec « ruisseau », on a le « pré plein de fleurs » qui correspond à la clarté de la pensée. Avec le « torrent », on a le terrain « fongeux » qui correspond confuses. II) De la pensée à la langue 1)

découvre la vie,le but étant de les éduquer tel des âme naive.et innocente ils n’ont pas notion de certain aspect de leur vie.Plus particulièremrnt leur apparence physique,en effet les deux amant découvre l'existence du miroire qu’ils vont comparé au ruisseau(là où pour la première fois les deux individus ont constaté la beauté de leur apparence physique,De plus,les deux se regarde de façon totalement absurde dans le miroire scrutant leur beauté (comique de situation),puis les deux amoureux vont s’embrasser

c’est aussi en voyant que je vous trouve assez laide. » En plus d’être une dispute, cette scène est aussi comique : Premièrement nous avons le comique de la scène, Adine apparait sous les yeux d’Eglé pendant qu’elle se regarde et s’admire sur le ruisseau. Elles ne se connaissent pas, c’est la première fois que chacune rencontre quelqu’un de semblable à elle, ce qui créer l’étonnement : « Mais que vois-je ? », « elle me considère avec attention », « (elle se regarde dans son miroir).. .c’est encore

l’agneau ne sont pas écoutées) Il coupe la parole, impose la sienne. Longueur de ses répliques, alexandrins ≠ Agneau : verts courts. « Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?»  Le Loup affirme ainsi que le ruisseau lui appartient de droit « mon breuvage » = mon ruisseau, mon eau. Par la parole, le dictateur s’empare d’un bien qui ne lui appartient pas.  Confirmation de son pouvoir avec deux accusations : « hardi » ; « témérité » => L’agneau est accusé de défier le pouvoir. Par sa réponse

06000 Nice Ma chère Azora, Je vous écris car ayant pris connaissance du tour que Zadig vous a joué, j’ai jugé utile de vous faire part de ma pensée. Sachant que votre mari vous a joué ce tour car vous vous êtes plain de m’avoir vu détourner le ruisseau juste après la mort de mon époux, je peux le comprendre car en effet, vous êtes une femme autant peu modeste de tolérante. Mais je comprends aussi votre choix car je sais pertinemment que vous vouliez sauver votre ami Cador et non manquer de respect

lettres de te donner quelques détails sur notre vie dans les tranchées, je vais donc t'en donner. Ce matin il pleut, une de ces pluies d'hiver, froide, fine, éternelle, dont rien ne protège. La tranchée de première ligne est un ruisseau couleur de terre, mais un ruisseau immobile dont le courant resterait accroché aux parois de son lit. De l'eau, de la boue. On y enfonce, on glisse doucement, attiré par on ne sait quelle irrésistible force ... " une odeur flotte, c'est celle de la mort .Se battre

cruches, chacune d’elle pendante aux extrémités d’une solide perche qu’il portait sur ses épaules. L’une des cruches était fêlée, tandis que l’autre était parfaite et livrait toujours une pleine portion d’eau. À la fin de la longue marche du ruisseau à la maison, la cruche fêlée arrivait toujours à moitié pleine. Tout se passa ainsi, jour après jour, pendant deux années entières où le Porteur livrait seulement une cruche et demi d’eau à sa maison. Évidemment, la cruche qui était sans faille

était composé de 3 parties différentes . L'une dans dans un champ avec des successions de sauts , d'obstacles très difficile a franchir et qui été envahit de plantes carnivores ou les pilotes devaient être très vigilent . Une 2eme partie dans un ruisseau qui été très dangereux avec des passages au bords de gouffres profond . Et la fameuse 3eme partie qui se déroulé dans le centre de « La foret vorace » qui été tellement touffu qu'on ne pouvait pas de l'extérieur distinguer les entrailles de cette

[…] La dame en tailleur bleu est seule, au bord du trottoir comme si elle dormait. Les vélomoteurs roulent tout près du trottoir, dans le ruisseau. […] Presque sans ralentir, le premier vélomoteur est monté sur le trottoir, il s’approche de la dame en bleu. Quand cela se passe, et juste avant de tomber, la dame regarde Martine qui roule devant elle dans le ruisseau, elle la regarde enfin, ses yeux grands ouverts qui montrent la couleur de ses iris, qui donnent la lumière de son regard. Mais cela ne

souvenirs retrouvés, toutes les choses d'autrefois revues " montre que le narrateur lui accorde une importance particulière. Le champ lexical de l'odorat est aussi présent : " Les odeurs du sol, le grand souffle de résine, les senteurs du logis, du ruisseau, du fumier " donc l'odorat contribue au fonctionnement de la mémoire, tout comme la vue : " revue, une marque dans une porte, une chaise boiteuse nous rappelant un petit fait. " Le narrateur met en scène le réel en rendant compte de ce qu'éprouve