Salon d'automne

Le fauvisme est un courant de peinture du début du XXe siècle. Tiré d'une expression du journaliste Louis Vauxcelles, il débuta historiquement à l'automne 1905, lors du Salon d'automne qui créa scandale, pour s'achever moins de dix ans plus tard, au début des années 1910. En fait, dès 1908, il est déjà à son crépuscule. Son influence marqua néanmoins tout l'art du XXe siècle, notamment par la libération de la couleur. Le précurseur du fauvisme était Henri Matisse, mais d'autres grands artistes, comme

française. Il ira étudier par la suite de cette bourse à l'école des Beaux-Arts mais il préfère aller à l'école des Arts décoratifs où il restera jusqu'en 1923. Sa première exposition à Thann se déroulera de 1921 à 1922. Puis il expose, en 1923, au salon des Indépendants d'Alsace. Quand il sort des Arts décoratifs, il décore bénévolement la chapelle du Moyen-Collège à Sainte-Croix de Neuilly ou il est engagé comme professeur de dessin. En 1925, il épouse Maria Schermesser à Paris. Et en 1929, il s'installera

beaux-arts, il fréquente l'atelier de Gustave Moreau en 1895. Il y rencontre Georges Rouault, Albert Marquet et visite les expositions de Jean-Baptiste Camille Corot et celles de Paul Cézanne. En 1896, Matisse expose pour la première fois au « Salon des Cent » et au Salon de la Société nationale des beaux-arts dont il devient membre associé sur proposition de Pierre Puvis de Chavannes. Cette fonction lui permet notamment d'exposer sans passer par un jury. Il passe l'été à Belle-Île-en-Mer et rencontre l'australien

avec Augusta Preitinger, avec qui il se marie en 1901. Il est attiré par les quartiers de la prostitution et aime peindre des prostituées en les représentants dans des scènes de la vie parisienne. Il expose régulièrement au Salon des Indépendants et au Salon d’automne avec Henri Matisse, entre autres. Dès 1905, van Dongen réalise des toiles aux couleurs intenses et fortement contrastées, aux contours cernés qui se situent pleinement dans le fauvisme. Fin 1905, l’artiste emménage avec sa femme

Beaux-Arts, il fréquente l'atelier de Gustave Moreau (1895). Il y rencontre Georges Rouault, Albert Marquet et visite les expositions de Jean-Baptiste Camille Corot et de Paul Cézanne. En 1896, Matisse expose pour la première fois au "Salon des Cent" et au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts dont il devient membre associé sur proposition de Pierre Puvis de Chavannes. Cette fonction lui permet notamment d'exposer sans passer par un jury. Il passe l'été à Belle-Île-en-Mer et rencontre l'australien

de peindre. Dès son rétablissement, tout en réintégrant l'étude, il s'inscrit au cours de dessin de l'école Quentin de La Tour destinée aux dessinateurs en textile de l'industrie locale.En 1896, Matisse expose pour la première fois au « Salon des Cent » et au Salon de la Société nationale des beaux-arts dont il devient membre associé sur proposition de Pierre Puvis de Chavannes. Cette fonction lui permet notamment d'exposer sans passer par un jury.En 1894, naît sa fille Marguerite (d'un de ses modèles

ses dessins au Salon des Humoristes (Palais des Glaces, Paris) en mai-juin 1907 mais sans grand succès : c'est son premier contact avec le public. Entre noël 1907 et la rentrée 1908, Marcel mène la belle vie : fêtes mémorables rue Caulaincourt, exposition de quatre nouveaux dessins au 2e Salon des Artistes Humoristes (mai-juin) puis longues vacances à Veules-les-Roses. Il déménage à Neuilly-sur-Seine et y demeurera jusqu'en 19136. Il commence à exposer des tableaux au Salon d'Automne (Grand Palais

Eugène Martel ou Henri Evenepoel, se trouve stimulé par cette conception de la peinture et entend développer la sienne selon son individualité. Carrière[modifier | modifier le code] En 1896, Matisse expose pour la première fois au « Salon des Cent » et au Salon de la Société nationale des beaux-arts dont il devient membre associé sur proposition de Pierre Puvis de Chavannes. Cette fonction lui permet notamment d'exposer sans passer par un jury. Il passe l'été à Belle-Île-en-Mer et rencontre l'australien

caractérisé par des formes allongées - voire déformées - et l'ovale des visages. Il exposa pour la première fois au Salon des Indépendants en 1908. L'année suivante, il rencontra Constantin Brancusi, sous l'influence duquel il commença à se consacrer à la sculpture Modigliani présenta ses sculptures, pour la plupart inspirées à la fois de l'art Africain et de la sculpture grecque, au Salon d'automne de 1912. Son expérience de la taille directe et du dessin le mena à faire de la ligne le principal élément

lé « Le Bonheur de vivre ».  C’est une huile sur toile qui mesure 175 cm x 238 cm. Cinq mois sont nécessaires à l’artiste pour  réaliser cette œuvre entre 1905‐1906, à son retour de Collioure pour le Salon Des indépendants de  1906.   « Le bonheur de vivre » a été acheté directement à ce salon par Léo Stein (collectionneur et  critique d’art américain), qui l’a revendu à Christian Tetzen Lund, qui l’a ensuite revendu au docteur  Barnes pour sa collection privée à Merion aux Etas Unis (PA), où le tableau se trouve encore