Sensation

et donc les sensations émises dans son œuvre. Au vers 2 et au vers 9 et 13, avec l’utilisation du verbe « respire » et des mots « odeur » « parfum » et « narines », on capte directement la sensation olfactive que ressent le narrateur. Au vers 3 puis au vers 10, on arrive à la sensation visuelle, avec l’utilisation des mots « yeux » « éblouissant », « œil », ainsi que l’emploi du verbe « je vois ». En fin de poème est évoquée la sensation auditive par le mot « chant ». Ces sensations sont mises

lorsque l’énergie QI est ressentie, on parle ici de sensations. La sensation peut différer à chaque personne. Certaines personnes peuvent ressentir un sentiment de gonflement, d’autres d’irradiations et certains comme un choc électrique. Il peut y avoir de la douleur pour certain et pour d’autre aucune lors des piqures. Aristote affirmait que le nous ne pouvions nous baser sur les sensations puisque ce n’était pas un vrai savoir. Les sensations ne peuvent être enseignées et ne donnent certainement

hétérogènes : nos sensations, mais aussi des images et des souvenirs. Mais faut-il que tous ces éléments soient présents pour qu'il y ait perception ? Et si oui, dans quelle proportion ? Considérons une perception qui serait uniquement constituée de sensations ; serait-elle encore une perception ? Serait-elle une moindre perception qu'une combinaison de sensations et de souvenirs ? Les images (et le travail de l'imagination) et les souvenirs sont-ils nécessaires pour transformer des sensations en perceptions

phénoménologie est celui de Merleau-Ponty, dont les 4 chapitres de l’introduction sont résumés ci-dessous1. I la sensation A première vue, la notion de « sensation » paraît claire ; elle ne l’est pas. Le premier malentendu est qu’on a tendance, spontanément, à penser en termes de sensations élémentaires (du rouge, du chaud, etc.). Or on n’a jamais accès à de telles sensations : il y a toujours un contexte, et une désignation comme « du rouge » est en réalité une représentation a posteriori

CHANT D’AUTOMNE de Baudelaire TEXTE 4 1. Montrer l’importance des sensations auditives (relever et étudier les expressions et images qui traduisent ses sons). 2. Pourquoi l’hiver est il une saison redoutable pour le poète ? 3. Comment met-il en évidence la fuite rapide du temps ? 4. Montrer que l’évocation de la mort est présente tout au long du poème Parmi les sources de l’inspiration poétique, les saisons occupent une place non négligeable. Et depuis toujours l’automne est

des perceptions visuelles. Le dormeur a des « bourdonnement, tintement, sifflement », qui passent le plus souvent inaperçus durant la veille, mais se détachent pendant le sommeil. Il y a donc également des sensations auditives intérieures, tout comme les phosphènes représentaient des sensations visuelles internes. Mais nous continuons par ailleurs d’entendre les bruits extérieurs, même endormi. Les bruits extérieurs sont encore perçus et servent de matériaux également au rêve : la pluie qui tombe

le point de vue interne. Charles ressent différentes sensations : - L2-4, sensations visuelles -L4, sensations olfactives -L4-5, sensations auditives → l'ensemble des sensations sont agréables qui permettent de planter un décor lumineux, coloré, des couleurs gaies, et avec un environnement sonore apaisant C'est donc un décor harmonieux, pleins de sérénité →c'est une invitation au bonheur. Ligne 6, en contraste, Charles éprouve une sensation d'étouffement qui se double d'un sentiment de tristesse

image du corps va se constituer partir de donnes sensorielles multiples pouvant se classer en deux catgories distinctes Celles qui rsultent des perceptions internes. Il sagit des informations provenant de lactivit propre de certains organes, sensations musculaires et articulaires. Elles apportent lenfant des renseignements sur son propre corps. Celles qui rsultent de perception externes Il sagit dinformations provenant des stimulations du milieu extrieur se produisant grce la vue, au toucher

DISSERTATION Par définition, une douleur est une sensation physique ou moral pénible, que le médecin cherche à atténuer de différentes manières. Mais le médecin pour calmer cette douleur doit se baser sur quelque chose de précis afin de déterminer l’importance ou non de cette douleur, en la mesurant. C’est ce genre de conception que le sujet proposé nous demande d’évaluer, voire même de remettre en question. Car n’a t-on pas ici une vision trop élitiste et assez infaillible de nos méthode, pour

symétrique de « je respire » et « je vois » lien étroit qui unit la perception olfactive et la perception visuelle (simultanéité) « rivages heureux » Pluriel Suggestion d’un paysage vaste Evocation d’un paysage maritime Ile ou règne où règne une sensation de bonheur, un lieu agréable « éblouissent les feux d’un soleil monotone » Qualité de la lumière qui baigne ce paysage Sentiment de plénitude, chaleur et intensité lumineuse L’odeur de la femme va entrainer le poète sur une ile agréable ou se mêle