Société nationale des chemins de fer tunisiens

| PAGE 1 | | istorique | | Le chemin de fer a vu le jour en Tunisie bien avant 1881, date d'instauration du protectora français sur la Tunisie. La première ligne de chemin de fer a relié Tunis, la Goulette et la Marsa (TGM). Inaugurée le 2 août 1872 par le souverain du pays à cette époque, cette ligne constituait en fait, le prélude à de nombreuses autres lignes qui, de 1878 à 1916, allaient être étendues dans le Nord du pays par la société des BATIGNOLES et sa filiale BONE-GUELMA .La ligne

la rive sud de la Méditerranée Occidentale Octobre 2010 Tunisie : étude monographique Index Description de la méthodologie employée ................................................................................. 1 Le secteur logistique tunisien ..................................................................................................... 7 1. Contexte du secteur logistique ............................................................................................... 7 1.1. Contexte

En 1885, un géologue amateur français, Philippe Thomas, découvre d'importantes couches de phosphates de calcium dans la région de Métlaoui2. À la suite de prospections et d'explorations identifiant les gisements, la Compagnie des phosphates et des chemins de fer de Gafsa est fondée en 18972. Elle obtient la concession des gisements de la vallée de l'oued Selja sous conditions de les relier par une voie ferrée au port de Sfax. Des mines voient successivement le jour à Métlaoui (1899), Kalâat Khasba et Redeyef (1903)

nord-est, sud-ouest en Mauritanie; est-ouest au Maroc; sud-nord en Algérie; ouest-est en Tunisie; sudnord et ouest-est en Libye. Concernant les grands axes inter-Etats, ils sont tous cantonnés au nord, qu'il s'agisse de la route Benghazi-Rabat ou du chemin de fer Tunis-Rabat (cf. Carte n°1). On observe le même phénomène pour les lignes aériennes qui desservent uniquement les capitales maghrébines. Il n'existe aucune liaison aérienne interrégionale au Maghreb. Pour aller de Marrakech à Oran, par exemple

Sommaire Introduction 2 Chapitre 1 : Eclairages sur l’économie tunisienne et l’état des lieux des EEP 4 Section 1 : aperçu sur l’économie tunisienne 4 Section 2 : Etat de lieux des entreprises publiques dans l’économie tunisienne 6 Chapitre 2 : La privatisation des entreprises publiques en Tunisie 10 Section 1 : La politique de la privatisation en Tunisie 10 Section 2 : quel modèle de développement pour la Tunisie de demain ? 17 Conclusion 20 Bibliographie 21

Compagnie des Phosphates de Gafsa (CPG). En effet, de plusieurs sources, on m’avait rapporté la difficulté d’obtention de cette autorisation, et je m’étais précédemment heurté à une fin de non-recevoir pour une demande analogue de la part de la Société des Phosphates Marocains. La difficulté d’obtention de telles autorisations s’explique par la valeur stratégique de ces Compagnies. J’ai cependant envoyé cette demande, et ce fut avec une grande joie que je reçus l’autorisation de la part de la

secteur en pleine croissance qui pourrait être contrariée par la crise financière et pétrolière Depuis la levée des sanctions internationales en 2003 et la normalisation de la Libye sur la scène internationale, le secteur du BTP en Libye a retrouvé le chemin de la croissance. Les deux années passées ont confirmé cette reprise des activités : les chantiers et projets se multiplient dans un pays où tout reste à construire. Des grands projets d’infrastructures et de construction de logements sont menés par

européen, la délocalisation de plus en plus observée au niveau des centres de recherche et de développement ainsi que la disponibilité des compétences requises, l’évolution du marché maghrébin et subsaharien et la tendance vers la hausse du marché tunisien notamment celui de l’automobile, les coûts de production compétitifs rendent ces opportunités bien réelles. Des structures d’appui au service de l’investisseur. Le secteur bénéficie du soutien professionnel du Centre Technique des Industries

d'intensité très variables, qui se produisent dans de nombreux pays du monde arabe à partir de décembre 2010. L'expression de « Printemps arabe » fait référence au « Printemps des peuples » de 1848 auquel il a été comparé. Ces mouvements révolutionnaires nationaux sont aussi qualifiés de révolutions arabes, de révoltes arabes ou encore de « réveil arabe » Ces évènements ont commencé le 17 décembre 2010 dans la ville de Sidi Bouzid par la révolution en Tunisie qui a conduit Zine el-Abidine Ben Ali à quitter

continents 10 Une société de savoir 12 Une infrastructure dense et moderne 14 Un environnement favorable aux affaires 16 Un site propice à l’investissement 18 Un pays où il fait bon vivre 20 FIPA-Tunisia Bizerte Tabarka Béja Jendouba Zaghouan El Kef Siliana Enfidha Kairouan Kasserine Sidi Bouzid Sfax Gafsa Skhira Gabès Tozeur Kébili Mednine Tataouine Djerba Zarzis El Djem Sousse Monastir Mahdia Tunis Kélibia Nabeul Hammamet Principales villes Autoroutes Ports Chemins de fer Aéroports Routes