Suffrage universel

ce dernier accepte de devenir son dernier président du conseil à condition de changer la constitution. • La constitution de 1958 instaure un nouvel équilibre des pouvoirs au profit de l’exécutif. L’élection du président de la République, au suffrage universel direct à partir de 1962, tend à renforcer ce poids de l’exécutif, en faveur duquel joue aussi la pratique de la constitution. Néanmoins le texte comporte des éléments présidentiels et des éléments parlementaires : on a pu parler d’un régime

codifié d’un suffrage. A partir du 19ème siècle le vote devient l’expression codifiée d’un suffrage individuel. Le vote est un outil de participation. Il a un caractère arbitraire. À partir du moment où il est instauré les modalités sont changées. Il va être à l’origine d’une compétition qui met aux prises des acteurs politiques soutenus par des organisations partisanes qui se spécialisent dans la conquête des suffrages. Les partis politiques doivent capter un maximum de suffrages. Le vote

la noblesse ont disparut. L'Europe est devenu l'Europe des États nations et des régimes libéraux. S'en suit un idéal démocratique dans la seconde moitié du XIXe siècle les régime se démocratisent surtout pas le biais de la mise en place du suffrage universel entre 1848 et 1914. Nous nous demanderons donc comment l'Europe est devenu une démocratisé et quelles ont été les conséquences de cette démocratie ? C'est pourquoi, nous verrons dans une premier temps le passage d'un régime libérale à une

qu’il y ait en une corrélation entre le suffrage populaire et le président des Etats Unis. Cela conduirait chaque Etat fédéré à changer pour son compte, le mode de désignation des grands électeurs (le scrutin de liste majoritaire a un tour). Dans une première étape, on voterait dans chaque Etat fédéré. Ensuite, on attendrait que chaque état fédéré ait voté au même vote. Une fois cela effectué, on ferait le compte. Le candidat ayant alors obtenu le plus de suffrage au plan national, obtiendrait dès lors

responsable le problème est que, précisement,selon la Constitution il n'est pas chargé de diriger l'action du gouvernement, il est simplement un arbitre et un garant,justement parce qu'il est irresponsable".L'élection du Président de la République au suffrage universel direct ne peut en aucun cas justifier ou servir à légitimé les abus de pouvoir du président 2) Un déséquilibre entre " Pouvoir" et "Responsabilité Cependant, Il ne faut pas oublier que c'est le système institutionnel qui permet le comportement

A l'origine conçue tel un régime parlementaire par Michel Debré , second père fondateur de notre Constitution, elle est devenue un régime semi-présidentiel depuis le référendum de 1962 instituant l'élection du Président de la République au suffrage universel direct. La manière de gouverner et d'administrer l'Etat sous la Ve République échappe aux typologies classiques des différents régimes démocratiques. La principale volonté était de marquer une césure avec les républiques précédentes , souhait

2 :l’élaboration et l’adoption de la nouvelle constitution * Chapitre 2 : le pouvoir exécutif * Section 1 :le Président de la république Paraghraphe 1 :l’élection du président de la république A. L’élection au suffrage universel indirect à l’élection au suffrage universel direct B. La réforme de 1962 C. L’éligibilité , les candidatures , et la campagne électorale Paraghraphe 2 :le statut du président de la république A. La durée du mandat : du septennat au quinquennat

gouvernement de DG. Le gouvernement doit recueillir l’avis d’un comité consultatif qui comprend des membres du parlement et des membres désignés par le gouvernement. Composé de la manière suivante : 16 parlementaires élus par la commission du suffrage universel de l’Assemblée National + 10 membres désignés par la même commission du sénat et 13 personnalités nommées par décret. Le gouvernement doit également soumettre le projet au conseil d’état qui émet, comme il est de la règle, un avis consultatif

représentants des collectivités locales (départements et communes). Un élargissement du collège électoral désignant le chef de l’Etat : légitimation de la puissance présidentielle En ne prévoyant pas l’élection du chef de l’État au suffrage universel direct, la constitution du 4 octobre 1958 s’inscrit dans la tradition républicaine française. Les constitutions de la IIIe et de la IVe République avaient également exclu ce mode de désignation du chef de l’État, car il s’était soldé le 2 décembre

retrouver pleinement dans ce Chef de l’Etat qui n’en serait qu’une simple émanation, et ce grâce au suffrage universel (A), et au référendum, qui pourtant laisse part au doute quant à la « constitutionnalité » de son utilisation (B). A) Un statut légitimé par le suffrage universel direct En 1958, d’après l’article 6 de la Constitution, le Président de la République était élu pour 7 ans au suffrage universel indirect (collège de 80 000 notables, comprenant des députés, sénateurs, et divers représentants)