Synchronisme

constantes Bernaud J 3/7 Chapitre B.2.4 Machine synchrone Réaction magnétique d'induit: Le stator, dont les enroulements sont maintenant traversés par des courants induits triphasés, créent un champ magnétique tournant à la fréquence de synchronisme. Si le circuit magnétique n'est pas saturé, ce champ se compose à chaque instant vectoriellement à celui du rotor, qui tourne à la même vitesse. Le champ résultant, donc le flux est modifié, ce qui entraîne une modification de la f.é.m induite

charges équilibrées et la vitesse nominale constante. EXERCICE 2 Soit un alternateur à pôles lisses pour lequel on admet la validité des hypothèses de Potier. Sa vitesse de synchronisme est ns = 1500 tr/mn. A cette vitesse, on a relevé sa caractéristique interne E = f(Ie), où E est la fem aux bornes d’une phase, de fréquence 50 Hz. L’alternateur est couplé en étoile et la résistance d’une phase est R = 0.84 Ω. Ie (A)

deux lignes MOSI et MISO. Pour transmettre un octet, il suffit d’écrire cet octet dans le registre SPDAT (Serial Peripheral Data Register) du microcontrôleur ; dès que celui-ci est plein, l’octet est immédiatement transmis sous forme série en synchronisme avec l’horloge SCK. Au bout de 8 périodes d’horloge la transmission est terminée. Document Ressource Liaison SPI page 2/3 Projet Baccalauréat 2008 Pompe Optima Format de transmission Il est possible de choisir le type d’horloge

toute variation de champs magnétique à travers une bobine créée aux bornes de la bobine une f.é.m. e(t) induite. C’est la loi de Faraday. 1.4 Synchronisme Le rotor et le champ tournant ont la même vitesse nS. Ont dit qu’ils sont synchrones (d’où l’indice s de ns). La fréquence f de la f.e.m. ou du courant de l’induit (stator) et la vitesse de synchronisme ns sont liées par la relation : nS : vitesse de rotation du champs tournant en trs.s-1 ;  : fréquence des courants alternatifs en Hz

asynchrone triphasé à cage d'écureuil : i1(t) source de tensions triphasées i2(t) i3(t) Fig. 2 MAS 5 2- Glissement • La vitesse de synchronisme est la vitesse de rotation du champ tournant : n S ( tr / s) = f (Hz) p ΩS (rad / s) = ω 2πf = p p • Le glissement mesure l'écart relatif entre la vitesse de rotation de la machine et la vitesse de synchronisme : g= n S − n ΩS − Ω = nS ΩS n = nS(1 - g) 6 • Exemple : Soit un réseau triphasé (f = 50 Hz) alimentant un moteur à trois paires

de rotation de la machine. Au fur et à mesure que la machine accélère, le champ statorique tourne de moins en moins vite par rapport au rotor et l'effet d'induction devient de plus en plus faible. A la limite, si le rotor tourne à la vitesse de synchronisme, il n'y a plus aucune f.é.m. induite, mais il n'y a alors plus de courant non plus, donc plus champ et, par là, plus de couple… Dans la pratique, le système cesse donc d'accélérer lorsque la f.é.m. est juste suffisante pour créer un courant tel

messages. Redémarrer tout le système peut parfois être évité en rendant l'algorithme robuste (tolérance aux pannes). Bien évidemment, cette tolérance dépend ausi du réseau (graphe : y a-t-il plusieurs chemins possibles d'un sommet à un autre?). Synchronisme On considère deux modèles extrèmes : • Système synchrone : on suppose que le délai de transmission des messages est borné. Plus précisemment, chaque processeur a une horloge locale dont les tops d'horloges ont la propriété suivante : "un message

1. PROBLEME TECHNIQUES D’abord, le développement de l’application en mode transversale a nécessité le stockage des codes dans un serveur central géré par CVS, chaque développeur doit faire une copie locale sur leur machine depuis ce serveur avant de pouvoir effectuer des modifications dans les codes. Après modification les codes sont de nouveaux envoyer au serveur pour que les autres développeurs puissent prendre en compte ces changements. Ils doivent donc se mettre à jour souvent pour être synchrone

Transmission synchrone et asynchrone Etant donné les problèmes que pose la liaison de type parallèle, c'est la liaison série qui est la plus utilisée. Toutefois, puisqu'un seul fil transporte l'information, il existe un problème de synchronisation entre l'émetteur et le récepteur, c'est-à-dire que le récepteur ne peut pas a priori distinguer les caractères (ou même de manière plus générale les séquences de bits) car les bits sont envoyés successivement. Il existe donc deux types de transmission

Question 12 : Un récepteur fournit le servomoteur en électricité et lui donne des consignes grâce à trois fils qui portent chacun des noms distincts : fil de masse, fil d'alimentation et fil de signal . Question 13 : L'angle de rotation du palonnier est quasi-proportionnel à la longueur du signal électrique .Une impulsion logique commandée par un microcontrôleur définie la position du servo . Sa durée est très courte , 1ou 2ms , si l'impulsion dure 1 ms le servomoteur tourne dans un sens et si