Séduction Geste

utilise l’aparté de manière presque provocatrice (la didascalie « bas, à Charlotte » est présente 4 fois dans le texte, tout comme la didascalie opposée, « bas, a Mathurine »). Le comique de situation est d’ailleurs fortement renforcé par un comique de geste physique qui peut être plus ou moins développé selon les choix de mise en scène : Don Juan est placé entre les deux paysannes et va de l’une à l’autre, ou court de l’une à l’autre, répéter les mêmes répliques, avec quelques variantes sous le regard

filée de la guerre, qui met en avant la « bataille » livrée par Don Juan pour chaque nouvelle femme séduite. Plaisir de Don Juan dans la séduction, non dans l’amour partagé avec une femme. Dom juan et donc soumis a la nature et a la beauté de la femme. Il exposes ses thèses en renversant les valeurs de l’infidelité et de la fidelité , qui devient un don de soi un geste genereux. L’amour n’est pas esclusif , dom juan est valorisée , et favorisée par le champs lexical de la guerre du combat. Cette comparaison

saucisson", "bocks" de bière. II. Un portrait annonciateur de la psychologie du personnage et des thèmes principaux du roman 1. Un homme conscient de son pouvoir de séduction ✓ L'homme est beau et fier de son allure virile héritée de son passé de militaire : "il portait beau…. frisa ses moustaches d'un geste de militaire". Il jette des regards de "joli garçon", attitude en contradiction avec sa virilité qui présage de la duplicité du personnage. ✓ Dans le précédent passage

La première tentative de séduction d’Ariane: mise en scène et piège Il y a un fait qu’on ne peut nier à la lecture de Belle du Seigneur, Solal ressemble à Don Juan : chez les deux personnages la fidélité n’est pas leur qualité première et aucune femme ne leur résiste. S’il peut avoir toutes les femmes, c’est Ariane qu'il veut séduire, la belle épouse du médiocre Adrien Deume. Et pour cela, il se livre à un jeu de mise en scène où il s’attribue paradoxalement le rôle d’un anti-Don Juan. Après

trois scènes ont des points communs tant du point de vue des personnages que de la situation et du thème qu’elles traitent. Leurs registres, quoiqu’un peu différents, présentent aussi des ressemblances. • Il s’agit dans les trois cas d’une scène de séduction : Dom Juan tente de séduire deux paysannes, le Comte du Mariage de Figaro fait sa cour à celle qu’il croit être Suzanne, Cyrano adresse une demande de baiser à Roxane. • Par ailleurs, dans chaque scène, les personnages jouent un rôle ambigu, ont

émancipation(voir « les 10commandements du mariage » • Manipulateur : se sert de sa naïveté pr la faire parler, silences stratégiques, v.3/26 = ironie • Prit par son propre piège (cô Triboulet), sa créature n’a pas réussis à reconnaître le manège de la séduction v.25-26 peur que le j.ho. la croît impoli « civile »=civilisé/polis, v.40-41 elle croît l’avoir blessé, v.58-59 apogée de l’échec d’Arnolphe puisqu’elle insiste sur le fait que le j.ho. puisse venir la voir. II/ Les ingrédients d’un aveu amoureux

galanterie négations: litotes + figures d'atténuation exclamations et interrogations > prédominance des sentiments le thème de l'amour domine: passage de la galanterie à l'amour expression amplifiée des sentiments les jeux du refus > éléments du mode de séduction chez Marivaux > parodie du marivaudage. b) une scène caricaturale Didascalie "il saute de joie" > insiste sur la gestuelle 4 "on" + juron "palsembleu" > première rupture avec l'univers des nobles >>> parenthèse jusqu'à l.64 >>> distance entre

classique qui se déroule en cinq actes et elle a été représentée pour la première fois au château de Versailles le 12 mai de la même année. La scène 3 de l'Acte 3, est la première rencontre entre Tartuffe et Elmire, la femme d'Orgon. Cette scène de séduction est à la limite de l'acceptable mais l'auteur a su préserver la bienséance en jouant sur le langage. L'honnêteté classique est incarnée par le personnage d'Elmire grâce aux procédés dramatiques non-écrits, les euphémismes et les champs lexicaux.

punit tôt ou tard les impies » (l. 122). D’ailleurs, la transposition fictionnelle qu’il met en place pour se protéger est tellement transparente qu’elle fait sourire. b. Pour faire entendre ses reproches, Sganarelle se livre à un véritable jeu de séduction. Relevez les flatteries dont il orne son discours. Sganarelle tente de flatter Dom Juan pour éviter les coups : il lui montre qu’il n’entend pas sortir du rôle qui est le sien (l. 89-91) et qu’il comprend son mode de vie qu’il juge lui aussi fort

metteurs en scène, cinéastes, auteurs de bandes dessinées, furent fascinés par ce personnage habile et d'envergure qui défie la morale, l'ordre public, et Dieu. Le personnage évolue légèrement avec les époques. Mais la trame de fond demeure : séduction des femmes, rejet des règles sociales et morales, défi à l'autorité et à Dieu, châtiment « exemplaire ». Cependant sur ce dernier point des différences notables apparaissent chez certains auteurs de la période romantique. Le Romantisme crée ainsi