Tais-toi !

inspirando-se em Artaud, eles lhe darão o nome de “Corpo sem Órgãos”. É nesse corpo que os encontros com o outro, não só humano, geram intensidades que os autores definirão como “singularidades pré-individuais” ou “protosubjetivas”. Os agenciamentos de tais singularidades são exatamente aquilo que irá vazar dos contornos dos indivíduos, e que acaba levando à sua reconfiguração. Se o esforço de Oswald de Andrade foi movido pela necessidade de pensar o peculiar modo de produção da cultura no Brasil, já

aussi, jour par jour, pour arracher avec ses dents son petit lambeau de bonheur ? Dites, à qui devra-t-elle mentir, à qui sourire, à qui se vendre ? Qui devra-t-elle laisser mourir en détournant le regard ? CRÉON, hausse les épaules. − Tu es folle, tais-toi. ANTIGONE. − Non, je ne me tairai pas! Je veux savoir comment je m'y prendrais, moi aussi, pour être heureuse. Tout de suite, puisque c'est tout de suite qu'il faut choisir. Vous dites que c'est si beau, la vie. Je veux savoir comment je m'y prendrai

et m'évanouir, ouvrir mes yeux et contempler : ma vie est passée à mourir.Oh ! On est mieux les yeux fermés.Je sais qu'il frappera encore plus fort. Il déverse sa haine par des insultes, des hurlements, des crachats… Je manque d'air mais je me tais, je tais ma peur qui est devenue ma compagne, je lèche mes plaies en silence. Mon cœur a froid, écoeurée de vivre et démolie. J'ai faim, j'ai mal, j'ai plus que ça. Je suis écorchée dans ma vie. Couvert de lui, mon corps blessé, stigmatisé, appelle à l'aide

Le silence « Le silence est d’or », enfant on me l’a dit et répété, mais je ne comprenais cet adage que comme une manière plus élégante de me dire « tais-toi ».Originaire du Sud-Ouest, j’ai un tempérament plutôt volcanique… et bruyant : je m’exprime (souvent avec passion), je donne mon avis (pas toujours réfléchi ni opportun…), je m’emporte (plus souvent que je ne le souhaiterais…)… et même en dormant parait-il je parle ! J’ai été élevée dans une famille bruyante, où l’on parle

Personne ne vous a demandé votre avis. Ana (en criant): Maman, je veux parler a une tendinite plusieurs déchirures musculaires, perte de la vision dans un oeil, pour que vous avez déplacé le rein d'un coup de pied. Mère: - Tais-toi, Anne! Pilar (à crier et pleurer): - Tais-toi à la fois! (Démarrer la robe des mains de sa mère et le jette dans l'espace.) Mère (s'approchant d'elle): «Mais, ma ... Pilar, «Ne me touchez pas, maman. Bollaín Icíar film et Alicia Luna, Te doy mis ojos, 2003.

*voix ferrée* tchou tchou <Trex> *voix ture* vroum <Nayaway> *voix lure* floum <SukWoo> *voix zine* hummmm Billy : Tais-toi. Tsang : D'accord. Billy : Arrete Billy : stop Billy : plus une lettre Tsang : o/ Billy : plus un smiley Tsang : 1789 Billy : plus un wizz, plus un chiffre Tsang : --> [] Billy : Ni de symbole. Billy : Tais toi point final Tsang envoie : "Héhé.txt" Billy : T.T

échangeaient des répliques aigres, des horions sournois; maintenant le silence, à tout moment, tombe entre eux si lourdement qu' ils préfèrent une bouderie à l' effort de la conversation. Je n' ai donc jamais su ce qu' elle pensait? Tais-toi, méchant, tais-toi. . . Qu' est-ce que tu m' as fait. . . Vinca et moi, un être juste assez double pour être deux fois plus heureux qu' un seul, un être qui fut Phil-et-Vinca va mourir ici, cette année. . Il n' imaginait pas qu' un plaisir mal

énigmes et des coffres-forts. Brouille les ménages ou les raccommode, à la demande. Prix modérés. Les raisons de ma présence ici sont mystérieuses autant que... mystérieuses... Mais vous les connaîtrez tout à l'heure. Je n'en dis pas plus. Je me tais. Motus. Qu'il me suffise de vous indiquer que nous nous trouvons, par un beau soir de printemps (il montre la branche), dans le manoir2 du baron de Z... Zède comme Zèbre, comme Zéphyr... (Il rit bêtement.) Mais chut ! Cela pourrait vous mettre sur

aussi, jour par jour, pour arracher avec ses dents son petit lambeau de bonheur ? Dites, à qui devra-t-elle mentir, à qui sourire, à qui se vendre ? Qui devra-t-elle laisser mourir en détournant le regard ? CREON, hausse les épaules. : - Tu es folle, tais-toi. ANTIGONE : - Non, je ne me tairai pas ! Je veux savoir comment je m'y prendrais, moi aussi, pour être heureuse. Tout de suite, puisque c'est tout de suite qu'il faut choisir. Vous dites que c'est si beau, la vie. Je veux savoir comment je m'y

COMMMISSAIRE : On pourrait peut-être finir la soirée à nous deux ? Je connais un monologue comique, d’un auteur belge, qui est extrêmement drôle. L’AUTEUR : Ah ! non ! Je vous en prie, mon vieux ! Taisez-vous ! LE COMMISSAIRE : C’est bon. Je me tais. Je me tais. Mais ça va faire un froid. Forcément. (Il suggère encore.) Vous pourriez peut-être leur réciter la tirade des nez2 ? L’auteur le foudroie d’un regard noir. Entre le Séminariste. LE SEMINARISTE : Monsieur, mes camarades m’ont délégué auprès