Tapage

médiocrité et les attitudes grossières de ces personnages, les femmes ont "des mots obscènes à la bouche" et sont "aux trois quarts grises". Tandis que les buveurs "engloutissaient" les boisssons et "vociféraient sans raison" faisant du varcarne et du tapage. Tous ces détails permettent de donner un effet d'animation et de naturel à la scne en montrant les défauts des attitudes des personnages. La description est réaliste car il n'y a pas d'idéalisation. Cependant le texte n'est pas que réaliste, il

Qu’est-ce que l’ordre public ? L’ordre public peut se définir par la réunion de trois éléments essentiels : la tranquillité (tapage nocturne…), la salubrité (hygiène des lieux publics, pollution…) et la sécurité (accidents…) publique. Maurice Hauriou utilisait la formule suivante : « L’ordre public, au sens de la police, est l’expression d’un ordre matériel et extérieur. » Des mesures nécessaire au maintien de l’ordre public devront donc être mises en œuvre, et ce, par différents

aux sources, monde vierge, sauvage, libre= imaginaire du poète - violence : « criards », « les ayant cloués nus », « tapages » - passage de l’imparfait au passé simple : « je descendais » à « je ne me sentis plus » - « où je voulais » opposé à « guidé » - rimes croisées : impassibles/cibles – haleurs/couleurs – équipages/tapages – anglais/voulais ( jeu sur les mots en fin de vers, qui sont mis en opposition pour renforcer le contraste entre eux deux C-

pluriels -> accumulation « colis » , « câbles » -> hommes + objets sur le même plan -> lexique technique ! « tambours, plaques de tôles, barriques, vapeur » INDICATIONS AUDITIVES : Champ lexical du bruit : « tapage, bruissement » Allitération en « que » : « barriques, câbles, corbeilles » « Le tapage s’absorbait dans le bruissement de la vapeur » -> Flaubert = peinture de départ de machine à vapeur (ex tableau de la gare) ? Code d’interprétation réaliste -> roman doit être considéré comme réaliste B)

nombreuses prérogatives, le problème des atteintes inhérentes à la fonction se pose. Mission : maintien de l’ordre public Qu’est-ce que l’ordre public ? L’ordre public peut se définir par la réunion de trois éléments essentiels : la tranquillité (tapage nocturne…), la salubrité (hygiène des lieux publics, pollution…) et la sécurité (accidents…) publique. Maurice Hauriou utilisait la formule suivante : « L’ordre public, au sens de la police, est l’expression d’un ordre matériel et extérieur. » Des

au-delà de la médiatisation, c’est un excès de médiatisation, c’est donner une  importance très grande à une information. C’est mettre l’info au-delà de la médiatisation. Par la médiatisation nous pouvons aussi entendre l’idée de matraquage de tapage. BREVE HISTOIRE Nous avons le cas du président Américain Bill Clinton et Monica, cette affaire avait été surmédiatisée à un tel point que tous les journalistes cherchaient coûte que coûte des informations. THEORIE SUR LE CONCEPT

diffamation -Trafics en tous genres (drogues, personnes…) -Les insultes -Les discriminations raciales, physiques, sexuelles ... -La pollution volontaire (jeter des papiers, des mégots par terre...) -Se garer sur une place réservée aux handicapés -Le tapage nocturne  Comment la combattre ?     L’incivilité est un problème qui en inquiète plus d’un, et naturellement plusieurs « antidotes » ont été présentés. Parmi celles-ci, il y a deux idées qui dominent : -         S’attaquer aux causes de cette

innovatrices tels que le collage, le frottage ou le ready-made. Commencement Le Cabaret Voltaire est un lieu de culture actif pendant six mois, de février à juillet 1916, il finit par fermer ses portes pour tapage nocturne et tapage moral, non sans avoir dans l'intervalle fait émerger le mouvement Dada. Hugo Ball découvre par hasard un petit bistrot nommé la « Métairie hollandaise ». Il demande à son patron d'utiliser une salle désaffectée et le 5 février 1916, sous

verbes et expressions exprimant l’action : “ criant, chantant, gueulant, dansant, cabriolant” (l.3-4) , “ étalant, par devant et par derrière” ( l.6) “circulaient” (l.7) , “ d’autres dansaient” (l.10) , “ criaient , vociféraient “ (l.16) , “ faire du tapage “ (l.17) , “sauter a l’eau” , (l.19) , “ jetant” (l.20) , “poussaient des hurlements” ( l.21) montrent l’incroyable vivacité de la scène et l’énergie que dégage les personnages mais aussi le besoin de se libérer, de se désinhiber et faire remarquer

Waterloo (1815). b- Une description particulièrement réaliste Le lecteur, à l’image du narrateur, est plongé au cœur d’une bataille historique décrite avec une certaine précision. → Violence du feu, bruit des canons : « lui cria le général », (l. 4), « tapage devint tellement fort » (l. 5), « ce bruit qui lui faisait mal aux oreilles » (l. 7), « ils criaient » (l. 12), « lui cria le maréchal des logis » (l. 16). Le bruit rendu contribue au réalisme de la scène et rend cette scène vivante. → Une vision