Tête

spéciaux coudent la trompe vers le bas. Cette articulation souple favorise en particulier la recherche du nectar dans les corolles les plus étroites et les plus profondes. Sans même avoir à baisser la tête, le papillon déplace sa trompe pour explorer tous les recoins des fleurs qu'il visite. Dans la tête de l'insecte, une sorte de poire peut se dilater sous l'action de muscles puissants. Elle fait office d'aspirateur. Les papillons de jour se posent sur les corolles. Grâce à des organes gustatifs très

qu’il y a plusieurs expressions en lien avec le visage, comme par exemple « il a de la gueule », « avoir la tête dans les nuages », « faire la tête »… Tout ceci montre bien que le visage et tout ce qu’il représente et implique est important et, à la fois, difficile à décrire. Enfin, il m’est difficile de dire en quoi et pourquoi il pourrait être un bénéficiaire car le bénéficiaire n’a pas une tête particulière et en même temps, on a tous un visage unique et différent de son voisin, même les gens qui

nez et les yeux asymétriques (pupille dilatée que du côté gauche) sont exagérément grands. Une barbe, à la fois bleue et noir, recouvre le bas du visage alors que des rides bleues le sillonnent. Une ombre rouge magenta est projetée à la gauche de la tête et des stries rouges couvrent le haut du crâne. La forme du visage rappelle à la fois celle d'un crâne et celle d'un masque africain du fait de la simplification géométrique des formes utilisées pour construire le visage.  C'est un autoportrait de

reproduction en photographie de Saraste de Whistler. Des hortensias roses à côté de ce garçon presque imberbe, une verrue sur la joue, le nez large et long, des yeux terrifiants, sous un vaste front déjà dégarni. Il appui de sa lourde main de pianiste sa tête aux traits taillés brutalement. J'ai choisi ce tableau, car je le trouve jolie, quand je l'ai vue, il m'as de suite plus. Il dégage quelque chose et il est classe.

sur la face, une ride de colère entre les sourcils, le pli de la bonté au coin de la bouche, les lèvres épaisses, les dents grandes, un poing de portefaix, l’œil éclatant. Le petit était un homme jaune qui, assis, semblait difforme ; il avait la tête renversée en arrière, les yeux injectés de sang, des plaques livides sur le visage, un mouchoir noué sur ses cheveux gras et plats, pas de front, une bouche énorme et terrible. Il avait un pantalon à pied, des pantoufles, un gilet qu i semblait

triste. Il a la bouche ouverte comme si il était en train de crier, d'appeller de l'aide. Ses sourcils sont remontés ce qui donne un air encore plus tragique a ce grand visage. Autour de ce dernier, je peux voir comme des serpents qui se baladent sur la tête, d'un air méchant. J'ai l'impression qu'ils agressent le visage, ils rentrent dans les troues des yeux. D'une certaine manière, Salvador Dali a peut être représenté la mort par ce visage. Comme le titre de l'oeuvre s'intitule "Le visage de la guerre"

voyait d’elle que le visage. Le grand boubou bleu qu’elle portait traînait jusqu’à terre et ne laissait rien apparaître d’elle que le bout pointu de ses babouches jaune d’or, lorsqu’elle marchait. La voilette de gaze entourait le cou, couvrait la tête, repassait sous le menton et pendait derrière, sur l’épaule gauche. La Grande Royale, qui pouvait bien avoir un mettre quatre-vingts, n’avait rien perdu de sa prestance malgré son âge. La voilette de gaze blanche épousait l’ovale d’un visage

physique, c'est pourquoi nous l'avons choisis. Nous avons donc représenté cette scène sous forme de bande dessinée. Dans notre bande dessiné, la couverture met en valeur Nana, il s'agit d'un portrait en buste où Nana est représentée du haut de la tête jusqu'au bas de la poitrine. Elle possède une longue chevelure blonde dénouée sur les épaules, des yeux bleu scintillants et une tunique qui met en valeur sa poitrine. Nous avons mis la première page en couleur afin de mettre en valeur la beauté de

-à gauche : un taureau qui semble fixé le spectateur. A ses côtés, une mère tenant son enfant mort dans ses bras, crie sa détresse. -A droite une femme tombe dans les flammes ; une autre blessé au pied, se traîne. D'une ouverture Larrée sort une tête humaine et un bras tenant une lampe au dessus de la scène. II/ Seconde partie : interprétation du tableau. Le tableau fourmille (est remplis) d'éléments symbolique (religieux entre autres) qui éclairent le drame qui se joue ici. Une remarque

Annexe 1.5.1 - Récit La revanche du prestidigitateur (paragraphe manquant) À présent, messieurs dames, dit le prestidigitateur, que vous avez vu qu’il n’y avait rien sur l’étoffe, je vais y faire apparaître un aquarium rempli de poissons rouges. Une, deux et trois! Toute la salle s’écriait : « Merveilleux! Comment fait-il? » Mais le petit malin du premier rang souffle à ses voisins : « Il… l’avait… dans… la… manche… » « Mon truc suivant, dit le prestidigitateur, ce sera les