Tex Avery

anti-communiste convaincu, est le créateur du premier parc d'attraction moderne en 1955 (Disneyland, Californie). Les années 1950 sont l'âge d'or du cartoon américain (Road Runner, Bugs Bunny, Daffy Duck, Droopy de Tex Avery, Titi, Tom et Jerry...) : Dessin animé : Bad Luck Blackie, 1948, par Tex Avery (7 min, 43 ● MO). C'est aussi l'époque du triomphe des crooners (Frank Sinatra, Dean Martin...) dont la plus grande vedette mondiale est Bing Crosby de 1931 à 1954 : 383 chansons dans le Top 30 américain

animés de qualité très faible, dont le cas emblématique est celui de William Hanna et Joseph Barbera, qui après avoir donné au cinéma certains courts-métrage d’animation extraordinaires (les meilleurs Tom & Jerry, notamment, mais aussi certains Tex Avery) se sont lancés dans des séries destinées à la télévision, aux animations peu coûteuses et aux scénarios répétitifs (Scooby-doo, La famille Pierrafeu, etc.). Très conscients de la menace que faisaient peser sur eux cette concurrence, de nombreux

critique : La Planète des singes (un conte philosophique), Rosemary's Baby (la sorcellerie) et 2001, l'Odyssée de l'espace (une réflexion métaphysique sur l'homme). Sans oublier un domaine du cinéma où, d'Émile Cohl à Norman MacLaren et de Walt Disney à Tex Avery, le fantastique a toujours triomphé : le dessin animé. Photographie 2001: l'Odyssée de l'espace, de Stanley Kubrick, 1968, affiche Conquérante, l'affiche internationale de 2001 : l'Odyssée de l'espace, ici destinée au public allemand, met en vedette

interessés à ces aspects qui demeurent présents dans le dialogue. La sobriété et les multiples résonnances d'une telle oeuvre appelle les adaptations. Elles ont été nombreuses à la scène comme à l'écran. La moins neccessaire n'était pas celle de Tex Avery, fondée sur le comique de répétition qu'engendre inévitablement la vertigineuse, l'infinie stupidité de Lennie ; voilà une heureuse histoire, on aurait tort del'oublier, vigoureusmeent ridicule et bien faite pour ce "gagman pascalien" comme le dira

Leur culture cinématographique s’acquiert essentiellement par le biais de la télévision, la température locale –Le Minnesota présente des analogies climatiques avec la Sibérie– n’encourageant guère les sorties. Ils se nourrissent de cartoons de Tex Avery, de serials et autres séries B diffusée à profusion par le petit écran depuis la fin de l’âge d’or hollywoodien, des films où s’illustrent Bob Hope, Tony Curtis et Jerry Lewis, notamment Boeing Boeing qui reste l’un de leurs films favoris. Les frères

positions près et loin en permanence par rapport à cette action. Implication et dés-implication des personnages par rapport à cette action, sur des motivations totalement différentes. Disjonctions des points de vue et des motivations. Conférence sur Tex Avery à la cinémathèque. 10 mars : atelier théâtre. 01/03/2011 Cours sur Eisenstein On passe du cinéma Russe au cinéma « Soviétique ». Août 1919 : décret qui nationalise le cinéma, sous la dépendance du soviet suprême. Développer le cinéma soviet

comédie musicale, la danse dans les boîtes de nuit ». Ce sont des cultures qui ont pour point commun d’avoir beaucoup de vie, de couleur, de joie, de rire et de bonheur. Ce sont de purs divertissements, comme les spectacles de Decouflé. De plus, Tex Avery fait aussi parti de son univers, encore une fois sans grand étonnement car toutes ces inspirations sont réellement visibles et retranscrites sur scène. Le monde de Decouflé est un monde rempli d’une vie d’influences merveilleuses dont fait aussi

Les réécritures du Petit Chaperon rougeSéquence proposée par Mme Florence CHARRAVIN, professeure agrégée au Lycée Aubanel ( Avignon), pour ses élèves de 1ère L Objet d’étude : les réécritures, du XVIIème siècle jusqu’à nos jours (1ère L)L’objet d’étude « les réécritures » est organisé en deux groupements distincts afin de proposer aux élèves plusieurs approches de la question. L’étude qui suit correspond au groupement sur le conte de fées. (Le second groupement est consacré au mythe d’Œdipe.) Les

a marché mille kilomètres! »). En publicité, son emploi permet d'exagérer les qualités vantées d'un produit, qui sort ainsi du cadre réaliste, ainsi le publicitaire marque la mémoire du récepteur. C'est surtout dans les dessins animés, comme Tex Avery, qu'il est utilisé (exemple de l'arbre qui, en tombant, écrase un personnage, qui se relève ensuite sous forme de crêpe, ou des yeux du loup qui sortent de leurs orbites). La peinture et le cinéma utilisent ses ressources également (explosions

dédramatiser l'argent, l'humour offre un double intérêt : il permet d'accroître l'attention et peut contribuer à créer la sympathie du public. L'humour décalé est pratiqué depuis 1993 par le CCF. Il utilise la méthode du détournent des dessins animés de Tex Avery C'est la rencontre entre les deux univers qui va provoquer le choc et l'humour. L'humour par autodérision a surtout été développé par le crédit lyonnais qui a décidé d'innover sur le thème de la transparence, l'image de cette banque particulièrement