Tibre

empire , le haut empire n'est pas tout a fait connu , le moyen (les pyramides) , le nouvel empire , c'est au IV eme siecle qu'il repartira avec les conquetes d'Alexandre . La mesopotamie , veut dire entre les fleurs , determine une zone fertile ( le tibre etc.. ) region aride , l'eau apporte de la vegetation et donc la vie . Elle connait une civilisation des 2500 av Jc , société organisé et qui connaitra plusieurs civilisations successive et cette civilisation la va marquer tous le rpche orient d'une

saisonReverrai-je le clos de ma pauvre maison,Qui m'est une province, et beaucoup davantage ?Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux,Que des palais Romains le front audacieux,Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine :Plus mon Loir gaulois*, que le Tibre latin*,Plus mon petit Liré*, que le mont Palatin*,Et plus que l'air marin la doulceur angevine*. Joachim Du Bellay Recueil: Les Regrets 1558 Joachim Du Bellay était un poète français. Il est né en 1522 à Liré dans un village d'Anjou et est mort

Galère, il avait d'abord continué à persécuter en Orient puis il se rétracte 30 avril 311 : Galère promulgue le 1er édit de tolérance à la veille de sa mort 28 octobre 312 : Constantin ayant eu une vision du Christ bat Maxence au pont Milvius sur le Tibre à Rome 313 : Licinius bat Maximin Daïa à Andrinople (Orient). Ce dernier se suicide. Février 313 : Constantin et Licinius se retrouvent à Milan et adoptent des mesures qui libéralisent tous les cultes en apparence mais avantagent clairement le culte

saisonReverrai-je le clos de ma pauvre maison,Qui m'est une province, et beaucoup davantage ?Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux,Que des palais Romains le front audacieux,Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine :Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,Et plus que l'air marin la doulceur angevine. Ce sonnet parle en fait, au delà de la simple expérience autobiographique de Du Bellay (1522-1560), de la vie en général. Pour Du Bellay, la vie est un

de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre

sont en effet fermées, établies par Sylla lui-même, et ne peuvent être modifiées, soit par ajout soit par suppression de noms. Néanmoins, cela n’empêche pas l’apparition d’une vague de Terreur sur la Ville, les cadavres sont décapités, jetés dans le Tibre, les têtes des chefs marianistes sont exposées sur le Forum. Les biens des morts sont confisqués. C) Une dictature originale Les deux consuls ayant été victimes de la proscription, il y a une vacance du pouvoir. En décembre 82, une loi est

amours, desquelles nous parlonsQuand serons morts, n'en sera plus nouvelle :Donc, aimez-moi, cependant qu'êtes belle. PIERRE DE RONSARD, Les Odes, Sonnet à Marie, 1555, poésie lyrique. Depuis que j'ai laissé mon naturel séjourPour venir où le Tibre aux flots tortus ondoie,Le ciel a vu trois fois par son oblique voieRecommencer son cours la grand lampe du jour.Mais j'ai si grand désir de me voir de retourQue ces trois ans me sont plus qu'un siège de Troie,Tant me tarde, Morel, que Paris je revoie

le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province et beaucoup davantage? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine. Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin, Plus mon petit Liré que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Joachim du Bellay (1522-1560 J'ai l'âme de regrets touchée. (Sonnet XI.) J'ai l'âme, pour un lit, de regrets si touchée,  Que nul homme jamais ne fera

flancs de Tibur. Ma harpe, qu’en passant l’oiseau des nuits effleure, Sur tes propres débris te rappelle et te pleure, Et jette aux flots du Tibre un cri de liberté, Hélas ! Par l’écho même à peine répété. ” Liberté ! nom sacré, profané par cet âge, J’ai toujours dans mon cœur adoré ton image, Telle qu’aux jours d’Emile et de Léonidas, T’adorèrent jadis le Tibre et l’Eurotas ; Quand tes fils se levant contre la tyrannie, Tu teignais leurs drapeaux du sang de Virginie, Ou qu’à tes saintes lois glorieux

ma pauvre maison,
 Qui m’est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
 Que des palais Romains le front audacieux,
 Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
 Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
 Et plus que l’air marin la doulceur angevine. Joachim Du Bellay (1522-1560) Commentaires: Ce poème est un extrait du recueuil intitulé „Les Regrets“ (1558) que Du Bellay a écrit alors