Transept

retrouver la forme du Christ en Croix, les genoux fléchis et la tête inclinée à droite. L’intérieur de la cathédrale est une « copie » de l’extérieur, mélangeant style roman et gothique. On peut ainsi comparer le triforium roman de l’abside et de transept, à celui de la nef qui est gothique. La partie basse du chœur s’intègre au style roman ; quant aux voûtes elles sont exclusivement gothiques, avec quelques variantes. Dès l’entrée dans la cathédrale, la nef réserve une première surprise ; sa

transversal. Faisant face à l’Orient, elle rappelle que l'attente du soleil levant (symbole du Christ ressuscité) est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes4. La coupole est construite suivant le croisement de la nef et du transept, cette intersection représente le symbole du centre du monde. La présence de l’abside (au niveau du sol) et de la coupole (au niveau du toit) permet ainsi la communication entre le divin et l’homme : Dieu descend vers l’autel tandis que l’homme monte

édifice de toute la chrétienté ». Le chœur est terminé vers 1270 après 46 ans de travaux mais un accident écroule le chœur en 1284, les réparations s’achèvent vers 1347. La guerre de Cent ans stoppe la construction qui ne redémarre qu’en mai 1500 : le transept est alors construit en 50 ans ; Ensuite au lieu de construire la nef on élève une flèche de 153 mètres (1563-1569), la plus haute de toute la chrétienté, qui s’écroule le 30 avril 1573. La flèche est remplacée par une voûte… mais par manque de moyens

France. On ne sait pas qui est le commanditaire de la cathédrale de Noyon , Le chantier de l'actuelle cathédrale débute par la construction des chapelles rayonnante après 1150. Une deuxième campagne conduit à l’édification partielle du chœur et du transept (1160-1170). Puis le chantier se poursuit par le début construction de la nef et l'achèvement du chœur (1170-1185). Enfin, une quatrième campagne termine l'édifice par l'achèvement de la nef (1190-1208). Nous allons plus particulièrement nous intéresser

travée. Ce qui, comme nous le verrons par la suite offre une grande luminosité à l’édifice. On arrive au transept avec les portails Nord et Sud. Ils possèdent également un grand portail avec trois entrées chacun et un porche. Chacun des bras du transept est composé de trois travées centrales séparées par quatre colonnes et quatre piliers qui semblent plus massifs entourant la croisée du transept. Enfin, le chevet composé de quatre travées avec un chœur entouré de deux déambulatoires délimités par six

églises. Elle a une nef unique charpentée avec un transept et un chœur à abside ronde. La façade, avec ses quatre contreforts, comporte deux hautes arcades aveugles encadrant la porte centrale. Elle est la seule du XIe siècle en pays mellois. Sur la façade, il y à également une corniche à métopes et modillons et le deuxième portail sculpté de l’église ouvre sur le transept. L’église Saint Pierre eut deux campagnes de construction, le chœur et le transept furent d’abord édifiés ensuite la nef fut bâtie

l’abside. Ils vont l’orienter est-ouest et lui ajouter un transept, petite nef qui coupe la nef principale pour former une croix latine. plan de Saint Denis Cette forme évoque le Christ : - l’abside, qui entoure le chœur, évoque sa tête ; il regarde vers l’est, là où la lumière jaillit des ténèbres ; l’autel est installé dans le chœur ; sous le chœur est souvent creusée une crypte qui abrite les reliques de l’église, - le transept évoque ses bras, - la nef, bordée de colonnes, évoque son

gothique. 1 – Description 1.1 – Le plan L’abbatiale présente un plan de type basilical, elle est orientée. Le bâtiment se compose d’une nef de onze travées regroupant un vaisseau central et deux collatéraux. Le transept de trois vaisseaux est saillant, détient une croisée de transept et ses bras sont flanquées de chapelles orientées. Le chœur présente trois travées à double bas-côtés ainsi qu’une abside accolée au déambulatoire. Le chevet est flanqué de cinq chapelles rayonnantes ouvertes sur le

grand nombre de poutres qu’il a fallu utiliser pour la mettre en place, chaque poutre provenant d’un arbre différent. C’est une charpente de chênes. Ses dimensions sont impressionnantes : 120 m de longueur, 13 m de largeur dans la nef, 40 m dans le transept et 10 m de hauteur. Techniquement, avec le gothique, la mise en place des ogives a nécessité des toitures à forte pente ; celles de Notre-Dame de Paris sont de 55°. De plus, la raréfaction de gros bois, en raison des défrichements et du développement

la tradition y fixait la tombe de saint Pierre. L'empereur pensait ainsi construire l'autel de sa basilique au dessus de cette tombe. C'était une basilique classique, comportant une nef à 5 vaisseaux séparées par des colonnes de marbre coloré, un transept saillant, une abside semi-circulaire (construite autour de la tombe de saint Pierre), et deux doubles bas-côtés. L'édifice était précédé d'un grand péristyle (ou atrium, dit parfois quadriportique), une cour à portique au centre de laquelle se trouvait