Tunique

plutôt les hommes au poncho vert, car il en existe plusieurs représentations connues) est un des objet les plus célèbres de l'art équatorien. Cette représentation humaine complexe, se distingue par de nombreux ornements, sur ses jambes, cousus sur sa tunique, au visage (labret, nariguera, boucles d’oreilles en disque), ainsi que par une importante polychromie. Des éléments sont rendus par la technique du pastillage. Personnage assis sur un banc, céramique Sculpture en pierre La sculpture en pierre

composition pyramidale, surdimensionnée, surplombant l’ensemble, se détachant sur un nuage de poudre qui éclipse le ciel, une figure qui paraît irréelle, la Liberté. Son buste et ses pieds nus, la ligne serpentine de son corps, le drapé aérien de sa tunique simple sont directement empruntés aux statues des déesses grecques antiques telles que la Venus de Millo. Bien qu'elle marche droit sur le spectateur, son visage désaxé se découpe en profil grec, comme une médaille. Derrière sa tête, un nuage de fumée

proposer le récit d’un spectacle, récit dont nous pourrons commenter le caractère humoristique, le caractère dramatique et la signification.   Lecture   Pendant tout le premier acte, Orphée se plaignit avec facilité, quelques femmes en tunique commentèrent avec grâce son malheur, et l’amour fut chanté en ariettes. La salle réagit avec une chaleur discrète. C’est à peine si on remarqua qu’Orphée introduisait, dans son air du deuxième acte, des tremblements qui n’y figuraient pas, et demandait

brancard...), dés petits plats (taies d'oreillers, gants, serviette de toilette...). D'autre part le linge en forme, regroupe les vêtements pour les patients comme les pyjamas, chemise de nuit mais également ceux du personnel comme la blouse, la tunique et le pantalon. Lors de la circulation en milieu hospitalier, on considère que les risques infectieux sont susceptibles d'arriver. On remarque que 10 000 personnes meurent d'une infection nosocomiale chaque année, nous pouvons ajouter que le linge

séjour de rêve respirant le suave parfum des bennes à ordures, se retrouve à la décharge, le nid de toutes les épidémies possibles, au gré du vent, le cycle de propagation des germes porteurs de maladies reste ininterrompu. Même affublé d’une tunique de service, non adaptée aux heures chaudes de collectes, le voilà encore le coeur allègre nous débarrassant de nos déchets. Sûrement comme « LE GRAND BARBU», comme disait notre très chère amie « Milagro», le paradis des gens de cœurs les attend

romaines comme «forum», «vestale» et «podium»1 de nos jours. En second plan, la culture romaine, oubliée, est également présente en ce jour, sans que l’on s’en rende compte. Que ce soit dans la façon romantique dont les habitations sont faites, des tuniques légères que les femmes portent ou des décorations à piliers, nous nous inspirons culturellement des romains tous les jours. Il y a également la culture «écrite», en quelque sorte, qui est maintenant très utilisée, que ce soit par des œuvres philosophiques

sœur jumelle d’Apollon, elle est accompagnée d’un curieux animal, une biche avec des bois. On peut donc considérer que la déesse était tout simplement accompagnée d’un cerf. La déesse est représentée en mouvement, on peut le voir grâce au chiton (tunique) retroussé jusqu’au genou, pour lui permettre de courir facilement. Un manteau (un himation), passant sur l'épaule gauche, embrasse la taille. La main droite portée à son carquois, elle effleure les bois de la biche de la main gauche. Son regard est

Richelieu-Drouot du métro parisien, il existe un monument aux mort qui se trouve dans la station de métro meme. Le momument est en marbre noir, en forme de "demi cercle". Au milieu de centaines de noms se trouve une cariatide (statue de femme à tunique antique servant à soutenir une corniche). Ce monument a été érigé en 1931 à la memoire des agents du métropoloitain parisien partis et morts à la 1ere guerre mondiale. A la base du moment, il est écrit quelques noms de champs de bataille de la 1ere

pression, du cœur vers les capillaires sanguins. Une artère est composée de trois «couches » : La couche intima correspond à la tunique interne de l’artère. Cette couche est plus épaisse que sur les veines. Les cellules de cette tunique forment l’endothélium, qui est en contact direct avec le sang. La couche média correspond à la tunique moyenne. Cette tunique permet de réguler la pression et le débit du sang. Cette couche est constituée de cellules musculaires lisses ainsi que de feuillets

l'humiliation des Romains ; ils ne parviennent pas à chasser les assiégeants étrusques et ont peur de voir Tarquin être rétabli sur le trône de Rome d'où il a été chassé par le peuple deux ans auparavant. Mucius Scaevola cache un poignard sous sa tunique et gagne en secret le camp ennemi, deguisé en etrusque, il arrive devant le tribunal de justice que préside Porsenna et il poignarde un secrétaire du roi, croyant avoir assassiné le souverain lui-même. Mucius Scaevola est aussitôt arrêté. Traduit