Tunique

    8.2 LES  COLLECTIONS       Cuirs  et  peaux     Manteaux  et   trenchs     Jeans     Pantalons     Vestes  et  blousons       Tuniques  &   chemises   Robes   Jupes       Pulls  &  Gilets     T-­‐shirts                   17        8.3 ACCESSOIRES

Pompéi » a été peint par Paul Alfred de Curzon en 1866 et est exposé au Musée Saliès àBagnières-de-Bigorre (dans le département des Hautes Pyrénées). Au premier plan, on peut voir une grande place avec des personnages. Un homme drapé dans une grande tunique noir est assis et nous regarde, pensif.À droite, un vieillard vêtu de blanc semble parlé du Vésuve en le désignant de sa main.À gauche, un homme tenant un bâton est suivi par une femme et deux enfants. À côté, deux autres personnages semblent discutés

A l'âge de trois ans, assise sur les genoux de son père Jupiter, elle lui demande en cadeau : « une éternelle virginité, autant de nom que son frère Apollon, un arc et des flèches semblables aux siens, la fonction d'apporter la lumière, une tunique de chasse de couleur safran avec bordure rouge. Elle demande aussi que les femmes, au cours de l'accouchement l'invoquent souvent car sa mère Latone, l'a porté et l'a mis au monde sans douleurs, et parce que les trois Parques l'ont assignée, en raison

principale du paragraphe suivant? « À la tombée du jour, Léandre, anxieux, guette de la rive la lueur invitante. Oh joie! La lumière brille dans la nuit. Le jeune homme retire sa tunique et la noue autour de sa tête. Il nage résolument vers sa bien-aimée, en fixant le feu lointain de la lampe ». a) Léandre enlève sa tunique pour traverser à la nage. b) Le feu lointain de la lampe invite le jeune homme. c) Guidé par la lumière, Léandre rejoint sa bien-aimée à la nage. d) Sur la rive opposée

donna le jour à deux fils, Phérès et Merméros. Exil : Au bout de quelques années de bonheur, Jason abandonna Médée pour Créuse, la fille de Créon, roi de Corinthe. Répudiée et bafouée, Médée médita une vengeance exemplaire. Elle offrit à Créuse une tunique qui brûla le corps de la jeune épousée et de son peur essayant de la sauver; puis elle égorgea ses propres enfants pour accabler de douleur Jason (qui se tua). Athènes : Médée, s'enfuit et trouve refuge auprès d'Égée, roi d'Athènes : elle lui promet

appelle quelqu'un de classe pauvre par son métier : la rempailleuse, et on met Monsieur ou Madame devant quelqu'un de classe riche ; puis la différence des habits : d'un coté la rempailleuse habillé en paysanne et de l'autre côté M. Chouquet dans sa tunique à boutons d'or et fier). Une fois adulte, la rempailleuse toujours amoureuse de M. Chouquet,vis un jour dans le village sa femme, il était marié, en ayant vu cela, elle se jeta le soir même dans la marre. La différence des classes sociales est bien

parole et ordonna d’appeler la créature chantante. [...] [...] Ulysse exprima au roi son admiration pour les danseurs. A ces mots, Alcinoos décida de faire des dons à son invité, selon la coutume. Les douze autres rois durent offrir un châle, une tunique et un talent du plus bel or, tous envoyèrent un héraut chercher cela. Alcinoos demanda à Euryale de s’excuser auprès d’Ulysse pour ses propos provocateurs. Euryale s’exécuta et offrit son glaive au héros. Le roi fit don de sa très belle coupe d’or

d'un anneau et de cadeaux à la fiancée (sponsa, mot qui signifie à l'origine « qui a fait l'objet d'un contrat »). II. Une simple cérémonie On se marie particulièrement en mois de Junon, patronne des épouses. La jeune fille revêt une longue tunique blanche, serrée à la taille par une ceinture dont on noue les bouts d'une façon particulière. Elle couvre sa tête du flammeum, voile de couleur orangée, et chausse des sandales jaunes. Le mariage proprement dit est une cérémonie très simple, précédée

en récompense. Les comédiens et les spectateurs : Autrefois, seuls les hommes jouaient, ils représentaient des dieux comme des femmes. Ils les incarnaient grâce à des masques, et des tenues appropriées (tissus, bois, liège). Leur tunique (Chiton) couvrait leurs pieds et leurs poignets. Ils portaient également des chaussures en bois à semelles très épaisses (cothurnes).

amène ainsi la réa- lisatrice à se concentrer sur l'efficacité de son propos et sa dimension symbolique. Le père, dans le roman, rentre seul chez lui, sans que sa fille se mette en quête de le ramener au sein de la famille. ● Une lettre et une tunique Ces différences de construction narrative et de choix sty- listique entre l'écrit et l'écran peuvent s'étudier à l'échelle des œuvres entières. On peut toutefois aussi les travailler à par- tir d'une scène particulière, quand Parvana, devenue Aatish