Ukraine

Ukraine: après la Crimée, l'Est du pays sous haute tension Après la Crimée, l'Est de l'Ukraine menace de faire sécession. Les pro-russes de cette région du pays réclament un rattachement à Moscou, sur fond de déclarations virulentes de Washington, Moscou et Kiev. Adrienne Sigel | avec Brune Daudré Le 09/04/2014 à 16:04 Mis à jour le 09/04/2014 à 16:11 - + Imprimer cet article réagir Un manifestant pro-russe surveille les barricades érigées devant le bâtiment de l'administration

est aujourd’hui la présidente. Il compte à ce jour, plus ou moins trois cents membres en Ukraine. En 2008, Le FEMEN lance sa première mobilisation en Ukraine. Cette manifestation avait pour objectif de défendre les droits des femmes et de promouvoir la démocratie en Ukraine, après quatre années sous le joug de révolution orange. De plus, elles protestent contre la volonté d’ingérence de la Russie en Ukraine. En effet, Moscou n’a plus aucun pouvoir politique légitime sur l’Ukraine. Jusqu’à aujourd’hui

(Ebola). Les ONG défendent ce droit d’ingérence humanitaire. Critiques DIH :  Concept controversé & rejeté par certains pays.  Application « à la carte » : intervention en Libye en 2011 au nom du DIH mais pas en Syrie. Etude de cas : la crise en Ukraine Crise qui date de 2004, pays partagé Ouest/ Est, pop ukrainienne 78%, russophone 17%. 1991 : indépendance de l’Ukraine par rapport à l’URSS 1997 : Traité d’amitié avec la Russie. 2002 : volonté d’adhérer à l’OTAN 2004 : « révolution orange » : Suite

goûts de luxe qui s'accompagnent d'accusations de corruption contre son clan qu'il a placé aux postes clés. Le fils de Ianoukovitch est entré en seulement un an dans le club des cinq hommes les plus riches du pays. Car, comme l'explique Le Figaro, en Ukraine, business, politique et corruption sont indissociables. Le journaliste Roman Tsupryk explique au quotidien que l'Ukraine est une "kleptocratie qui freine la démocratisation et la modernisation du pays". L'accord avec l'UE est donc un prétexte pour

et de l’autre, d’ouvrir les bras à la Russie. Depuis quelques mois, la Russie exerçait une véritable pression sur l’Ukraine. Menaçant d’utiliser des mesures de rétorsion commerciale comme 2006 et 2009 avec l’arrêt de livraison de gaz russe en Ukraine ou encore, en lui rappelant fermement que la plupart des secteurs-clefs du pays dépendaient d’elle. Mais la Russie de Poutine insiste surtout sur le fait qu’il serait suicidaire de signer un l’accord d’association avec une UE plus que divisée et à

(INES) (le second étant la catastrophe de Fukushima du 11 mars 2011), et il est considéré comme le plus grave accident nucléaire jamais répertorié. La centrale nucléaire est située sur un affluent du Dniepr à environ 15 kilomètres de Tchernobyl (Ukraine), et à 110 kilomètres de la capitale Kiev, près de la frontière avec la Biélorussie. Les conséquences de la catastrophe de Tchernobyl, controversées, sont importantes aussi bien au plan sanitaire, écologique, économique que politique. Plus de 200

Ukraine : pourquoi la situation est explosive en Crimée I Un peu de géographie : Regardez sur la carte, à 1000km de la capitale, Kiev, la crimée est une péninsulde de la Mer Noire, appartenant à l'Ukraine. Elle a une superficie de 27000km² organisés en républiques autonomes. La Crimée est aussi la région la plus "Russe" du pays : 58,5% des habitants y sont russes et 76,5% parlent cette langue. II Que se passe-t-il là-bas ? Depuis la déstitution du président Ukrainien Viktor Ianoukovitch, de nombreux

rattachement à la Fédération de Russie dimanche, le processus d'annexion devrait prendre environ un an. Plus tôt vendredi, le ministère des Affaires étrangères russe a déclaré que la Russie se réserve le droit de défendre ses ressortissants présents en Ukraine après la mort d'un manifestant prorusse à Donetsk, dans l'est de l'Ukraine. Source : RADIO-CANADA, « Mouvements de troupes russes en Crimée», MSN Actualités, 14 mars 2014. http://actualites.ca.msn.com/international/mouvements-de-troupes-russes-en-crim%c3%a9e-1

pour la plupart à la ville nouvelle de Pripiat construite en même temps que la centrale. En raison de l'évacuation de Pripiat après la catastrophe, les travailleurs habitent désormais Slavutych, une ville située à 45 km à l'est de la centrale en Ukraine. Elle a été construite pour remplacer Pripiat. Après 1986, un travail à Tchernobyl était attractif malgré les doses élevées de radioactivité, en raison des salaires exceptionnellement hauts et d'un rythme de 2 semaines de travail / 2 semaines de congés

la tribune parlementaire aux cris de "Honte!". L'adoption de ce projet de réforme avait été exigée par les alliés occidentaux de l'Ukraine, qui y voient un moyen d'apaiser le conflit armé ayant fait plus de 6.800 morts en seize mois. Beaucoup en Ukraine ont toutefois dénoncé cette réforme comme une tentative de légaliser de facto le contrôle par les rebelles d'une partie de l'est industriel du pays. Le projet de réforme octroie davantage de pouvoirs aux conseils des élus régionaux et locaux, notamment