Un chien andalou

dehors de la peinture, la production de Dalí inclue des sculptures, des illustrations de livres et des affiches, de la création de bijoux. En collaboration avec le réalisateur Luis Buñuel, il a également fait les premiers films surréalistes --- Un chien andalou (1929) et L'Âge d'or (1930) --- et il a contribué à une séquence de rêve du film La maison du docteur Edwardes (Spellbound) d'Alfred Hitchcock (1945). Il a également écrit un roman, Hidden Faces (1944) et plusieurs volumes autobiographiques. Bien

Vechten, photographe américain Un premier voyage à Paris en 1926 est l'occasion de rencontrer Picasso qu'il ne cessera jamais d'admirer. Cette même année, Miro vient lui rendre visite à Cadaques. En 1929, Dalí retourne à Paris pour coréaliser Un chien andalou avec son ami Luis Bunuel, puis se brouillera avec lui après L'Âge d'or. Mais c'est surtout l'occasion de la rencontre essentielle avec le groupe des surréalistes : Tristan Tzara, Louis Aragon, André Breton, Paul Éluard…. Ce même été, un groupe

La persistance de la mémoire (1931) – Le Torero hallucinogène (1970) -René Magritte (1898-1967) : Les amants (1928) - Golconde (1953) -Max Ernst (1891-1976) : Le jardin de la France (1962) Cinéastes Luis Buñuel (1900-1983) : Un chien andalou (1929) réalisé avec Salvador Dali -Belle de jour (1967) Man Ray : Le violon d'Ingres (1924) René Magritte : Golconde (1953) Salvador Dali : La persistance de la mémoire (1970) Photographe Man Ray (1890-1976) : Le violon d'Ingres

l'un des plus hauts représentants du Surréalisme, tel Le grand masturbateur, Le spectre du sex-appeal, Le jeu lugubre et Persistance de la mémoire. C’est lors de son deuxième voyage à Paris en 1929, à l’occasion du tournage du film de Buñuel Un chien andalou, auquel Dali participa vivement au scénario, que Miro l’introduisit dans le groupe surréaliste. Il rencontra pour la première fois la jeune russe Helena Diakonova, Gala , qui est alors la femme de son ami Paul Eluard, un poète surréaliste. Dali

l'un des plus hauts représentants du Surréalisme, tel Le grand masturbateur, Le spectre du sex-appeal, Le jeu lugubre et Persistance de la mémoire. C’est lors de son deuxième voyage à Paris en 1929, à l’occasion du tournage du film de Buñuel Un chien andalou, auquel Dali participa vivement au scénario, que Miro l’introduisit dans le groupe surréaliste. Il rencontra pour la première fois la jeune russe Helena Diakonova, Gala, qui est alors la femme de son ami paul Eluard, un poète surréaliste. Dali

Breton. Durant son séjour dans la capitale française, le journal La Publicitat de Barcelone publie sous le titre "Documentaire-Paris-1929" les sept articles qui recueillent ses impressions sur tout ce qui se passe dans cette ville. Le film Un chien andalou, fruit de sa collaboration avec Luis Buñuel, est projeté au cinéma Studio des Ursulines de Paris. Il passe l’été à Cadaqués, où il reçoit la visite du galériste Camille Goemans et sa compagne, de René Magritte et son épouse, de Luis Buñuel, de

feront de lui l'un des plus hauts représentants du Surréalisme, tel que , Le spectre du sex-appeal, Le jeu lugubre et La persistance de la mémoire. C'est lors de son deuxième voyage à Paris en 1929, à l’occasion du tournage du film de Buñuel Un chien andalou qu'il rencontra pour la première fois Helena Diakonova, Gala, qui est alors la femme de son ami Paul Éluard, un poète surréaliste. Gala et Dalí s'éprennent l'un de l'autre et Gala prend une décision ferme : " Nous ne nous séparerons plus ". Elle

de Gala, sa femme, qui joue un rôle clé dans ses tableaux. Rupture avec le surréalisme en 1934, retour à la peinture traditionnelle. Réalisation de modèles de bijoux et de mobilier. Travail pour le cinéma (collaboration avec Buñuel pour "Un chien andalou" en 1929 et "L'âge d'or" en 1930). Création, en Catalogne, son propre musée en 1974, le Teatre-Museu Gala Salvador Dalí. Grand provocateur, personnalité excentrique, génie… Sa peinture. Elle a une forte composante surréaliste et psychanalytique:

Dali est d'abord influencé par le futurisme, puis par le cubisme (1925). En avril 1926, Dali fait son premier voyage à Paris, où il rend visite à Picasso. Lors d’un second voyage à Paris en 1929, à l’occasion du tournage du film de Buñuel « Un chien andalou » (Dali est co-scénariste), Miro l’introduit dans le groupe surréaliste. Dali rencontre André Breton et . . . Gala, sa future femme et égérie. Il adhère au groupe surréaliste en 1929. Dali s’intéresse alors aux théories psychanalytiques de Freud

alors à sa maturité artistique, ce qui apparaît dans des oeuvres comme “Le Miel est plus doux que le sang” et “Chair de poule inaugurale”. Luis Buñel se rend à Figueras en 1928 et écrit en compagnie de Dali le scénario d’un film intitulé “Un chien andalou”. Ils se rendent la même année à Paris pour tourner le film. Bien qu’il ait finalement du succès, Dali déclare que pour lui le film avait été ovationné par un « public abruti qui applaudit tout ce qui lui semble nouveau et bizarre ». On peut voir