Une Beaute De Quinze Ans Enfantine

vie chez ses personnages. Il s’est projeté dans une triade adolescente : en Frantz21 le romantique fantasque qui se range, en Augustin, l’éternel adolescent et surtout en François, le nostalgique de l’enfance. Au commencement du roman, François a quinze ans, Augustin dix-sept. Augustin est un maraudeur attiré par les grands espaces de l’extérieur, un rebelle, un taciturne. La tête ailleurs, il attire François, c’est un grand frère initiateur. Son arrivée est significative : le personnage est présenté

De tes traîtres yeux, Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, Polis par les ans, Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Mêlant leurs odeurs Aux vagues senteurs de l’ambre, Les riches plafonds, Les miroirs profonds, La splendeur orientale, Tout y parlerait À l’âme en secret Sa douce langue natale. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux Dormir ces vaisseaux Dont l’humeur est

le texte 2) La force comique de l’extrait 3) Les idées du texte 4) Pour conclure Document 2 1) Travail sur le vocabulaire a) Expression ligne 41 : “Prenant le contre-pied de la femme fatale”. b) Expression ligne 62 : “La splendeur de la rouerie enfantine”. 2) Résumer une partie du texte 3) Travail de recherche 4) Les idées du texte Document 3 1) Pour présenter le texte 2) Travail sur le texte, a) Vocabulaire b) culture générale 3) Les idées du texte 4) Pour conclure sur ce texte Document n°4 1) On

avait pris ce pli". Rédigé par Victor Hugo en Novembre 1846 et issu du recueil " Les Contemplations", le poète écrit un hymne de beauté à sa fille Léopoldine, décédée la même date. Réellement attachée à sa progéniture qui le quitta trop tôt, Hugo décrit avec amertume le comportement malicieux de la jeune fille au quotidien. " Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin, de venir dans ma chambre un peu chaque matin [...] " Nostalgique du "bon vieux temps" où il vivait sereinement entouré de sa famille

fleurs. Le père de Roala, gentillâtre imbécile, L'avait fait élever comme un riche héritier, Sans songer que lui-même, à sa petite ville, Il avait de son bien mangé plus de moitié. En sorte que Rolla, par un beau soir d'automne, Se vit à dix-neuf ans maître de sa personne,- Et n'ayant dans la main ni talent ni métier. Il eût trouvé d'ailleurs tout travail impossible; Un gagne-pain quelconque, un métier de valet, Soulevait sur sa lèvre un rire inextinguible. Ainsi, mordant à même au peu qu'il

est donc fille d'un pape et d'une princesse, elle est devenue servante et qu’elle a connu de multiples malheurs. . Fille du pape Urbain X et la princesse de la Palestine (petite ville près de Rome), la vieille servante, alors jeune, d’une beauté légendaire, vit son fiancé (un prince italien) mourir de convulsions épouvantables, empoisonné devant elle. Sa mère et elle furent enlevées par un corsaire marocain pour devenir esclaves. Arrivées au Maroc, elles assistèrent aux combats épouvantables

l’écriture n’a pas de secret, lorsque l’on compare la première lettre du roman qui est une lettre de Cécile et celle de Madame de Meurteil, la différence est flagrante : nous avons deux épistolières opposées, d’un côté une jeune fille et son babillage enfantin et de l’autre une femme qui maitrise à la perfection la rhétorique. Notamment parce qu’elle réussit à instaurer un dialogue fictif avec Valmont, sa lettre est vivante et établit une communication différée entre l’écriture et la réception. Ainsi elle

prose), dans lequel l’importance dominante est accordée à la forme. J’ai choisit pour thème de cette anthologie l’érotisme qui est un sujet souvent abordé par les poètes. La poésie érotique défie le temps, elle traverse tous les siècles, pendant mille ans, du Moyen-âge à notre époque en exprimant la marche de l’histoire et des mentalités changeantes tout comme le langage. L'origine de l'érotisme vient d'Eros, dieu de l’amour, symbole de l'élévation de l'esprit. C'est lui qui détient l'essence de l'arbre

un coup de tête, et obtenant toujours ce qu'il désire par n'importe quel moyen. Il suscite de la fascination chez les élèves de l'école. C'est un aventurier et avec lui, chaque chose devient mystérieuse et excitante. Au début de l'histoire, il a 17 ans alors que ses camarades n'en ont que 15, ce qui lui vaut le surnom de « Grand Meaulnes ». François Seurel est son ami et son compagnon d'aventure, il le qualifie aussi de son « frère » au cours de l'œuvre. Il est aussi ami avec Frantz de Galais

par du dialogue qui rythme la description. De plus, Séverine entre dans le récit par un verbe de mouvement « poussa la porte » qui d’emblée donne du dynamisme à l’extrait.Elle nous est d’abord présentée physiquement. Le lecteur apprend qu’elle a 25 ans, et divers adjectifs attributs du sujet « elle » nous renseignent sur sa silhouette. «grande, mince, très souple, grasse ». Le narrateur s’attache ensuite à décrire son visage sans pour autant que cette description nous permette de nous la représenter