Une Beauté De Quinze Ans Enfantine Ronsard

*314 Fernande (1972) *316 Stances à un cambrioleur (1972) 320 La ballade des gens qui sont nés quelque part (1972)naa *328 La princesse et le croque notes (1972) *330 Sauf le respect que je vous dois (1972) *334 Le blason (1972) *342 Quatre-vingt-quinze pour cent (1972)a *338 Mourir pour des idées (1972)a *346 Les passantes (Antoine Pol) (1972) *348 Le roi des cons (1972) *350 À l’ombre des maris (1972) *358 Trompe la mort (1976)a 360 Les ricochets (1976)n *362 Tempête dans un bénitier (1976) *364

personnage principal est prétentieux et veut faire du zèle en faisant coïncider sa nouvelle vie avec le moment exact de son anniversaire : « Lui-même n’était pas superstitieux mais cela flattait son sens de l’humour de commencer sa nouvelle vie à quarante ans, à une minute près. » (l. 9-10). Ce zèle le perdra : c’est lui qui a choisi d’organiser cette coïncidence, mais il ne se doutait pas qu’elle irait si loin. Sa satisfaction de lui-même prête à rire : « Son départ, sa nouvelle destination, sa nouvelle

de l’œuvre . PRESENTATION DE L’ŒUVRE 1- RESUME Dans ce roman autobiographique ancré dans le Maroc traditionnel des années cinquante, dans la ville de Fès plus précisé-ment, Sefrioui raconte l’enfance de Sidi Mohammed, un petit garçon âgé de six ans. Dans ses souvenirs, le narrateur évoque la maison où il habitait (Dar chouafa), les relations entre les co-locataires, l’école coranique, les disputes entre voisins, mais également la solidarité des habitants dans le malheur, les fêtes, les croyances

homme qui n'eût craint ni les esprits ni les revenants. Ces deux pièces répondaient aux deux fenêtres non condamnées de la façade. Un jour blême et verdâtre y descendait à travers les vitres dépolies dont le dernier nettoyage remontait bien à cent ans et qui semblaient étamées en dehors. De grands rideaux, fripés dans leurs cassures et qui se seraient déchirés si on eût voulu les faire glisser sur leurs tringles dévorées de rouille, diminuaient encore cette lumière de crépuscule et ajoutaient à la

homme qui n'eût craint ni les esprits ni les revenants. Ces deux pièces répondaient aux deux fenêtres non condamnées de la façade. Un jour blême et verdâtre y descendait à travers les vitres dépolies dont le dernier nettoyage remontait bien à cent ans et qui semblaient étamées en dehors. De grands rideaux, fripés dans leurs cassures et qui se seraient déchirés si on eût voulu les faire glisser sur leurs tringles dévorées de rouille, diminuaient encore cette lumière de crépuscule et ajoutaient à la

homme qui n'eût craint ni les esprits ni les revenants. Ces deux pièces répondaient aux deux fenêtres non condamnées de la façade. Un jour blême et verdâtre y descendait à travers les vitres dépolies dont le dernier nettoyage remontait bien à cent ans et qui semblaient étamées en dehors. De grands rideaux, fripés dans leurs cassures et qui se seraient déchirés si on eût voulu les faire glisser sur leurs tringles dévorées de rouille, diminuaient encore cette lumière de crépuscule et ajoutaient à la

te regarder, quelle tu t'es rendue par sa dissimulée affection, et quelle tu te trouves maintenant par la FIGURES l connaissance de sa trahison, et avoue par force que si les autres, comme on dit, changent d'humeur et de complexion de sept ans en sept ans, les années en toi sont changées non seulement en des mois, mais en des heures, voire même en des moments. » Comment alors en vouloir à l'amant volage ou présumé tel? « Tu es bien déraisonnable, de l'observer toimême (la loi du changement) et

de Lamartine, Recueillements poétiques, « Épître à Félix Guillemardet » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 L. Aragon, La Diane française, « La rose et le réséda » TEXTE 3 V. Hugo, Les Châtiments, « Chanson » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 É. Glissant, L’Intraitable Beauté du monde ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE V. Hugo, Les Châtiments ANALYSE D’IMAGE TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS 112 112 114 114 115 116 117 118 119 119 120 120 120 121 G. Brassens, Il n’y a pas d’amour heureux G. Courbet, L’Atelier du peintre F. Nadar

libération du vers des contraintes métriques, la tentation du poème en prose d’Aloysius Bertrand, de Baudelaire ou de Rimbaud, avec l’écriture en 1869 (cette œuvre singulière fut en effet écrite, imprimée, puis « perdue » et véritablement publiée vingt ans plus tard) des Chants de Maldoror d’Isidore Ducasse dans une prose hybride à la fois poétique, romanesque, épique, dramatique et parodique, l’idée d’un genre « total » germe, alliant la forme romanesque tant décriée mais toujours aussi exploitée à une

l’obstacle. c) Je pense qu’il ne téléphonera pas. d) Irons-nous au cinéma ce soir ? e) Qui a sonné ? f) Ce qui est tombé dans la rivière, c’est un platane. B – Quelques procédés emphatiques 1- « Celle-là, à soixante ans passés, elle avait toujours l’air d’une catin ». a) Dans cette phrase, il est question de Germaine Richard. b) Les mots qui la désignent sont : « celle-là », « elle », « catin ». c) Des virgules séparent ces mots. d) L’impression