Vassalité

pour administrer un vaste territoire, les rois carolingiens ont été obligés de développer des liens avec les grandes aristocraties locales. Cela va expliquer l’essor du phénomène de la vassalité a l’époque carolingienne.  1 : la vassalité pièce maitresse de l’ordre politique carolingien : Ce terme vassalité désigne la condition de celui qui s’est placé sous la protection d’un puissant à travers un rituel, une cérémonie et la prestation d’un serment. Le vassal s’agenouille devant son segneur

groupement plus vaste de la gens, qui réunissait toutes les familles apparentées et reliées par une communauté de nom propre, ou « gentilice ». La gens, était le cadre de cultes privés comme de liens de dépendance, un peu analogues à ceux de la vassalité, entre un patron et des clients ; ceux-ci, protégés, portaient eux-mêmes le nom de la gens, et pouvaient être des colons ou des soldats du patron. L'ensemble du peuple se groupait en trois tribus qu'on a crues longtemps être trois groupes ethniques

(double faiblesse). La difficulté pour les grands en question, la division ne cesse pas, car ces grandes principautés ont tendance à se diviser à l’intérieur même. Ce système politique caractérise la féodalité. I- L’ordre seigneurial et la vassalité Cet éclatement du pouvoir avait commencé avant les capétiens, déjà au IXème sous le puissant Charlemagne on s’entait en germe cette tendance à vouloir se diviser. Au moment du déclin carolingien, les chefs politiques ont eu même de grandes difficultés

serment mais n’y étaient pas familiers et l’empruntaient dans des circonstances réduites notamment dans le jus jurandum liberti. Au Haut MA, la pratique va se développer, se répandre compte tenu des nécessités qu’engendre la multiplication du lien de vassalité qui augmente, et donc entraine l’augmentation des serments. 1) L’interdiction chrétienne primitive du serment Dans les Evangiles de Matthieu chapitre 5, verset 33-37, le Christ interdit de jurer. Au début de leur formation, les Eglises chrétiennes

distribuer ses filles pour entretenir une amitié avec les familles. Objectif de nouer et de maintenir des relations d’amicitia avec les familles. 2. Les relations féodo-vassaliques. Relations non nouvelles car s’inscrivent dans le prolongement de la vassalité de l’époque carolingienne. Reconnaissance d’une dépendance personnelle par un noble à l’égard d’un autre plus puissant que lui. Vassal, se reconnait Fidel. Vassal en dessous, seigneur au-dessus. Un noble qui est lui-même seigneur d’un vassal, peut

portant sur la doctrine. S’oppose à l’orthodoxie. Heures : prières ou offices rythmant la journée. Heuristique : qui a pour objet de dégager les règles de la recherche Homiliaire : recueil d’homélie ou de sermons. Hommage : rite de la vassalité consistant pour un homme libre à devenir (ou à se reconnaître) vassal d’un seigneur. Homogamie : mariage entre un homme et une femme de même niveau social. Honor (pluriel : Honores) : poste de fonctionnaire à l’époque carolingienne. À partir

royal (le fisc) pour s'assurer le soutien de l'aristocratie. Le trésor royal, à la fois privé et public (car le roi était émanation du peuple), s'était ainsi substituée aux « biens publics » de l'époque romaine, évolution qui jeta les bases de la vassalité. L'administration du palais royal était confiée à des officiers domestiques, fidèles et compagnons du roi : le « connétable » était chargé des écuries royales ; le « maréchal » s'occupait du tribunal ; le « référendaire » envoyait les ordres

L’univers Féodal : Depuis le IXème siècle et l’effondrement du pouvoir Carolingien, l’Europe occidentale, à l’exception du Saint Empire Germanique, s’est morcelée en une multitude de petits territoires, tenus par des hommes dont les liens de vassalité et d’hommage constituent le fondement de la féodalité. Dans cet univers éclaté, fragmenté en quantité de fiefs ou chaque petit seigneur a droit de vie et de mort, les clercs et la religion tentent de se substituer à un pouvoir royal défaillant et

l’intérieur de la principauté. C’est le commencement des droits locaux qui sont le plus souvent oraux. Les chefs locaux s’attribuent donc des fonctions régaliennes tel que le frappement de la monnaie et le commandement de la population. Le système de la vassalité apparaît. On a donc un pluralisme juridique non plus fondé sur des lois propres à chaque peuple mais fondé sur le territoire. En outre, les capitulaires disparaissent laissant place à la coutume. La coutume est donc un droit oral qui doit être respecté

important. Il s'agit du dieu Eshmoun, un dieu associé à l'huile, à la guérison mais aussi à la mort et à la résurrection. Si on en sait un peu plus sur la structure du panthéon de Tyr c'est grâce à un document précieux pour la recherche, le « traité de vassalité ». Ce dernier lia vers 675 av J.C le roi de Tyr nommé Baal comme le dieu au suzerain assyrien Asarhaddon. Ce traité était à la base lié au commerce avec les activités maritimes, pour officialiser ce pacte, les deux rois font appel à leurs dieux afin