Venezuela

Santisima Trinidad Bolivar Palacios , connue sur le nom Simón Bolívar. Née le 24 juillet 1783 a Caracas en Vénézuéla et mort le 17 décembre 1830 en Comombie . Il était un militaire et un politicient Vénézuélien. Une des grandes figures de l'avant de l'émancipation américaine Empire espagnol. Contribué de manière décisive à l'indépendance des pays actuels: Bolivie, Colombie, Equateur, Pérou et Venezuela. Il a participé à la fondation de la Gran Colombia, Une nation qui a essayé de se regrouper en une

et précisé que les prétentions du Vénézuéla en intervenant sur le territoire colombien s'étendraient à la récupération du territoire qui correspondait historiquement au Venezuela selon les frontières tracées au XIXème siècle. Ceci est explicite dans un article de la constitution de la République Bolivarienne du Venezuela, selon lequel "Le territoire et les espaces géographiques de la République sont ceux qui correspondent à la capitainerie générale du Venezuela avant la transformation politique entamée

juillet 1783 | | |Caracas, Venezuela | |Décès |17 décembre 1830 | | |Santa Marta, Colombie | Simón José Antonio de la Santísima Trinidad Bolívar y Palacios, plus connu sous le nom de Simón Bolívar est né le 24 juillet 1783[1] à Caracas au Venezuela, et est mort le 17 décembre 1830 à Santa Marta en Colombie. Général et homme

Libertador, né le 24 juillet 17831 à Caracas au Venezuela, et mort le 17 décembre 1830 à Santa Marta en Colombie, est un général et homme politique sud-américain. Anti-impérialiste et nationaliste, il est une figure emblématique, avec l'Argentin José de San Martín, de l'émancipation des colonies espagnoles d'Amérique du Sud dès 1813. Il participa de manière décisive à l'indépendance des actuels Bolivie, Colombie, Équateur, Panama, Pérou et Venezuela. Bolivar participa également à la création de la

permanente de l’empire et de ses alliés, qui va jusqu’à encourager l’assassinat présidentiel. Le seul pays au monde où quelqu’un peut s’offrir le luxe de promouvoir l’assassinat d’un chef d’Etat sont les Etats-Unis. [...] Nous allons lutter pour le Venezuela, pour l’intégration latino-américaine et mondiale. Nous réaffirmons ici dans cette assemblée notre foi infinie en l’Homme, aujourd’hui assoiffé de paix et de justice afin de survivre comme espèce. Simon Bolivar2, le père de notre patrie et notre

le commerce entre les Etats membres en vue d'instituer progressivement un marché commun latino-américain. Membres (juillet 2009) : 12 Etats 
Argentine, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Cuba (1998), Equateur, Mexique, Paraguay, Pérou, Uruguay, Venezuela
Siège : Montevideo (Uruguay) http://www.aladi.org Haut de page Banque interaméricaine de développement - BID Inter-American Development Bank - IBD Objectifs Créée en 1959, c'est une banque dont l'objectif est de financer le développement

Compléter une fiche signalétique comprenant les informations suivantes : a. Nom du pays : Venezuela b. Capitale : Caracas c. Drapeau : d. Superficie totale (km˛2) : 916 445 km˛2 e. Population totale : 28 047 938 hab. f. Type de régime politique : Démocratie participative g. Principaux partis politiques en place : Parti socialiste unifié du Venezuela et Parti communiste du Venezuela h. Nom du chef d’État : Nicolas Maduro i. PIB par habitant : 10 630$ j. Participation à la

HUGO CHAVEZ ET L’ENERGIE VENEZUELIENNE : LE PETROLE, UNE ARME politique et GEOPOLITIQUE a double tranchant Un dicton populaire vénézuélien dit qu’il n’y a pas au Venezuela « de bons ou de mauvais politiques, mais seulement un prix élevé ou bas du pétrole ». De fait, le pays vit principalement de la rente énergétique : le secteur pétrolier représente 30% de son PIB et 80% de ses exportations. Bien que cela lui apporte une vulnérabilité importante face aux variations des

des frontières terrestres avec le Brésil, l'Équateur, le Panamá, le Pérou et le Venezuela, et différents traités ont fixé les frontières maritimes avec le Costa Rica, la République dominicaine, l'Équateur, Haïti, le Honduras, la Jamaïque, le Nicaragua, le Panamá et le Venezuela. Située au nord-ouest de l'Amérique du Sud, la Colombie (1,1 million km²) est limitée au nord par l'océan Atlantique, à l'est par le Venezuela et le Brésil, à l'ouest par l'océan Pacifique et le Panama, au sud par l'Équateur

par des associations inter mondialistes de s’être associé avec l’extrême droite cubaine de Miami et de mener une campagne contre Cuba et contre le Venezuela dans un but politique partisan plus que de liberté d’expression. Au Venezuela, Rsf s’entête à classer ce pays 90eme sur 167 en 2005 alors qu’au Venezuela : • La majorité des médias sont détenus par l’opposition au gouvernement • Malgré le coup d’état raté de Pedro Carmona en 2002, aucune mesure de censure n’a été prise