Verbe

« se / s’ » est suivi d’un verbe pronominal (ex. : se laver, s’échapper, ils se battent, elle se maquilla…) N.B. : « c’est / ce sont / c’était / ce fut / ce sera / ce serait / ce soit » n’est pas suivi d’un verbe (ex. : Ce serait gentil de ta part. C’est moi le meilleur. Ce fut une belle journée. Je veux que ce soit toi qui y ailles. Ce sera un garçon…) « s’est / se sont / s’était / se fut / se sera / se serait / se soit » est suivi d’un verbe pronominal (ex. : Ils se

ordres sévères que Balthazar avait donné » ligne 2, l’emploi de l’adjectif « sévères » nous montre qu’elle est prête à tout même à encourir la colère de son mari. Le verbe « voulut » nous montre encore une fois sa volonté de combat comme on le voit plus loin dan la phrase ligne 5 « combattre corps à corps contre sa rivale » le verbe nous montre que Joséphine livre une véritable bataille conte la science. De plus celle-ci est personnifiée, humanisée elle apparaît comme une femme lui volant son mari

formé de la base verbale du verbe à laquelle on ajoute la terminaison -ed, sauf dans le cas des verbes irréguliers qu'il faut donc apprendre par cœur. Ex. : play → played, mais win → won. Pour former les questions et les phrases négatives au prétérit, on utilise le prétérit du verbe do : did (didn't). Ex. : Did you sleep well? (Avez-vous bien dormi ?) 2. Quand emploie-t-on le present perfect ? On emploie le present perfect (auxiliaire have  + participe passé du verbe) pour parler d'une action

ca/fr Robert achète, tôt le matin, son journal préféré. > Le CP est placé à l’intérieur du GV, entre le verbe et son complément direct. Robert, tôt le matin, achète son journal préféré. > Le CP est placé entre le GN sujet et le GV. Tôt le matin, Robert achète son journal préféré. > Le CP est placé au début de la phrase. Attention ! Lorsque le CP est en début de phrase, mais que le sujet et le verbe sont inversés, on n’emploie pas la virgule (Dans l’arbre chantent les oiseaux.). Le détachement d’un

maison, à deux cents mètres, avec son chien qui gambadait autour d’elle. Questions : I/ Compréhension : 1-Quels sont les personnages de ce récit ? 2-Pourquoi Véronique rentrait-elle à pied ? 3-« Elle entrevit une forme noire » .Nommez le verbe souligné et remplacez-le par un autre de même sens. 4-Véronique avait-elle peur ? relevez du ....e un mot et une expression qui justifient votre réponse. 5-Elle rejoignait sa maison. cette phrase signifie : a* Elle se rappelait de sa maison ? b*

corrélation : ne... que / ne... pas (restriction  / les négations). CONTEXTE On distingue l'adverbe de mot et l'adverbe de phrase. Le premier se joint à un autre mot, avec une place fixe, le plus souvent devant lui (sauf pour le verbe) : il se joint surtout à un verbe, un adjectif, un autre adverbe : il parle bien / très beau / très lentement ; mais aussi quelquefois à des mots de liaison, comme une préposition, une conjonction de subordination : bien avant la nuit / bien avant que la nuit tombe ;

oiseaux chantent sur les branches des arbres ». Non mon cœur, on va pas compter les fautes, ça va nous déprimer tous les deux. Alors ! Dans une phrase Timoté, il faut identifier le verbe. Où est le verbe ? Branche ! Du verbe brancher. Je comprends mieux pourquoi tu as mis « e-n-t » à la fin de branche. Non chéri, le verbe c’est « chantent » et comme il y a plusieurs oiseaux qui chantent qu’est-ce qui se passe à la fin de chante Timoté? On met … Un « s ».Je sais pas mais moi j’étais bonne en orthographe

◊ ATTRIBUT DU SUJET : dépend d’un verbe et fait partie du GV. Placé après un verbe attributif (SPREAD) : sembler, paraître, rester, ressembler, être, avoir l’air, demeurer, devenir, etc. GNs + GV GN Ex. : Hector deviendra un gros poisson. Un attribut du sujet n’est ni déplaçable ni supprimable. Un adjectif peut aussi être attribut du sujet. ◊ COMPLÉMENT DIRECT DU VEBE (CD) : complète un verbe, n’est pas introduit par une préposition

répétitive
 ·        Composé de vers irréguliers, le poème est construit sur une énumération d’actions, chacune étant exprimée par un vers d’une structure semblable : -         sujet (« la mère », « le fils », « elle », « il », « le père ») -         verbe -         complément d’objet direct ·        On remarque que les sujets sont constitués par les personnages, tantôt seuls, tantôt ensemble (le père et la mère), qu’ils sont parfois remplacés par des pronoms. ·        Cette reprise crée un effet

alors du verbe purifier évoquant t alors la possibilité d’avoir une connotation esthétique. Ainsi le premier vers est-il dans une logique d’épuration, de raréfaction poussée jusqu'au terme de la destruction : détruire. Le deuxième vers reprend sur une possible expansion avec le verbe semer qui signifie au sens propre répandre des graines pour qu'elles germent et poussent dans la terre, et prend très facilement une signification morale et esthétique. Très logiquement peut venir à la suite le verbe multiplier