Vicomte

Choderlos de Laclos, roman épistolaire publie en 1782, narre manipulations et les actes pervers auxquels se livrent deux libertins de la haute société : le Vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil. Cécile de Volanges est une des premières victimes, innocente, naïve et sensuelle, elle sera l’outil des manipulations de la marquise et du vicomte. En effet ce dernier, pour parvenir à ses fins, la manipule et la déshonore. Comment cette relation s’ébauche-t-elle au sein de l’œuvre ? Que laisse-t-elle

représentations théâtrales : ils n'apparaissent jamais sans tous leurs artifices. La musique est utilisée pour intensifier un sentiment lors d'une scène. Par exemple, la bande originale de George Fenton nous indique une fin tragique, lorsque le Vicomte se rend au village(17), une musique dynamique est jouée ce qui accentue cette scène comique et quand Tourvel, Merteuil et Valmont participe à un concert de Händel « Ombra Mai Fu »(55), la pureté du chant fait écho à la sincérité des sentiments

voyeur qui surprend les secrets qui ne lui sont pas destiné. Dans les liaisons dangereuses, Le vicomte de Valmont et La marquise de Merteuil sont deux libertins qui s’amusent dans leur complot. Tout le long du roman, On assiste à l’objectif de Valmont qui est de séduire La présidente de Tourvel. Lettre numéro 56, c’est une réponse « négative » de la part de Mme de Tourvel à la lettre précédente du vicomte. Cette lettre retranscrit la relation ambigüe qu’entretiennent les deux personnages. Nous commenterons

l'écriture. Vers 1778, il commence à rédiger son roman Les Liaisons dangereuses qu'il publie en 1782. Les Liaisons Dangereuses est un roman épistolaire mettant en scène le déroulé du plan machiavélique des deux libertins, Madame de Merteuil et le Vicomte de Valmont. Le succès est assuré, mais le scandale aussi, son roman allant, d'après certain, à l'encontre des Lumières. Peut-on alors dire que les personnages de ce roman sont le reflet d'une société ? Étudions comment Laclos à travers ces personnages

Synthèse : Les liaisons dangereuses. A. La marquise de Merteuil. La marquise de Merteuil, ainsi que le Vicomte de Valmont, est le personnage principal des Liaisons dangereuses. En effet c’est elle qui crée les intrigues (dès la lettre 2 elle demande au Vicomte d’obtenir les faveurs de Cécile par exemple). La marquise s’est créée un personnage à force de nombreux et douloureux efforts, elle devient une libertine qui n’a plus rien à voir avec la fille qu’elle était. Cet ascétisme lui a donc

XVIIIe siècle. Dans un duo malsain et risqué, la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont se jouent de leurs prochains. Séduire et bafouer l'honneur de leurs proies, tel est leur leitmotiv quotidien."Ah ! qu'elle se rende, mais qu'elle combatte ; que, sans avoir la force de vaincre, elle ait celle de résister ; qu'elle savoure à loisir le sentiment de sa faiblesse, et soit contrainte d'avouer sa défaite", clame le vicomte, à travers la récurrence d'un vocabulaire guerrier, au sujet de la chaste

Laclos, cette notion est présente sinon omniprésente. En effet, dans l’œuvre, les libertins, c’est à dire la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont sont le centre de l’action qui tourne autour de leur guerre de séduction. L’auteur donne d’ailleurs sa définition du libertin et du libertinage à travers la description que Madame de Volanges fait du vicomte de Valmont dans une de ses lettres : « Vous ne connaissez pas cet homme ; où auriez-vous pris l'idée de l'âme d'un libertin ? [...] Encore

s’adresse au vicomte de Valmont. PB : Comment grâce à cette lettre argumentative la marquise donne t’elle un portrait d’elle même ? I/ Un discours argumenté sous forme de lettre a) Les pronoms personnels * De l 25 à la fin « je » : elle même ; auteur du discours et actrice des éléments qu’elle décrit. * « Nous » : toutes les femmes, solidarité féminine, elle attend la fin du récit pour parler d’elle même * « supposons » : elle et le vicomte : solidarité avec le vicomte donc solidarité

livre Les Liaisons Dangereuses de Laclos, édition GF Flammarion. Le personnage de la présidente de Tourvel fait partie de la haute société et on peut le voir par le substantif « présidente » qui la définit. Grâce aux descriptions faites par le vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil dans les lettres IV,V et VI, l’on découvre que c’est une jeune femme de 22 ans(l.VI, p.88) liée par un mariage arrangé, depuis deux ans, au président de Tourvel se trouvant à Dijon pour un procès (l.V p.86). Elle

Elle décrit et met en place les trois intrigues principales du roman. Voulant se venger de son amant le comte de Gercourt, la marquise de Merteuil décide de détruire le mariage de celui-ci et de Cécile de Volanges. Elle demande alors de l'aide au vicomte de Valmont son complice libertin. Mais celui-ci refuse et préfère séduire la présidente de Tourvel, qui est, d'après lui, un "défi" plus intéressant. La deuxième partie est contrôlée par les actes libertins de madame de Merteuil. Valmont quant à