Visage

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sur le spectacle qu’il contemple. Un portrait effrayant. Dostoïevski qui séjourna en Suisse, visita le musée d’art de Bâle où il vit le tableau fameux de Grünewald, La déposition du Christ. La vision est terrifiante, le Christ est représenté le visage torturé par la douleur, les chairs déjà décomposées, verdâtres, il est allongé, comme le personnage de Camille. Dostoïevski reçut un tel choc à la vue de ce tableau que lui, qui avait dû pourtant en voir pendant ses années de bagne, Récit de la maison

des visions angoissantes, qui déforment et stylisent les traits du visage comme le costume pour atteindre la plus grande intensité expressive. II. Analyse de l’œuvre Selbstbilnis als Schießscheibe (Autoportrait en cible) En somme, tout est contraste, exagération sans nuance, sans sentiment, le portrait présente un visage impersonnel. a. La description Composition : le buste d’un soldat en uniforme allemand, le visage sans expression et les yeux attirent le regard du spectateur. De

Mae West (1934) 1. carte d'identité de l'oeuvre : Auteur : Salvador Dali Date d'execution : 1934 Titre : le visage de Mae West Type : Appartement surrealiste et Gouache sur tirage photographique Dimension/format/materiaux: 21 ,3 x 17,8 cm , art institute Style : art du quotidien 2. Analyse et interpretation Description : DALI Salvador (1904-1989), Visage de Mae West (utilisable comme appartement surréaliste), 1934,  gouache sur tirage photographique, 28,3x17,8 cm, Chicago

gauche fléchie et avancée ainsi que l'inclinaison du bassin. Le poids du corps repose sur la jambe d'appui. Sa chevelure est retenue par un bandeau et retombe en boucles volumineuses sur les côtés du visage. Ses yeux sont incrustés de cuivre, son regard est résigné. Le nez est fin. Le bas du visage est caché par une barbe épaisse et une moustache imposante dissimule la lèvre supérieure. La lèvre inférieure est épaisse est orné de bronze qui lui donne sa couleur rouge. Le modelet est doux et et l'ensemble

en très gros plan dans ce tableau nous communique une sensation d'enfermement le cadre contenant à peine ce visage terreux dont les contours quelques peu flous évoquent l'abstraction au monde réel. Le visage remplit la totalité de la toile cédant au corps & peu de place, laissant seulement paraitre les épaules frêles et ceintes d’un carcan de couleurs vives et fortes contrastant avec le visage blafard de ce personnage sans âge. Les cheveux paraissent usés, décolorés mêlant un roux terne à des mèches

conséquences que provoque le rire communicatif sur Gwynplaine ? Le rire est tout d’abord inéluctable pour le public mais aussi pour son auteur et son infirmité divise son corps et son âme, qui ne sont plus synchronisé et contrairement à l’expression de son visage Gwynplaine n’éprouve pas uniquement des sentiments joyeux. Premièrement nous allons étudier la portée du rire de Gwynplaine. Le rire s’impose tout d’abord à lui car il y est obligé puis il s’impose inévitablement à son public. Dès les premières

personne en tant que telle. Il développe l'étude physique sous différents angles de vue et obtient ainsi ce visage fracturé qui est une étude avancée de la construction du visage d'Ambroise Vollard reporté sur la toile d'une façon plus géométrique et donc divisée en de multiples parties. Tout autour de ce visage semble se développer sous nos yeux tout un univers, un monde qui enveloppe ce visage. Une recherche thématique poussée qui ne manque pas de qualité esthétique. C'est une nouvelle vision de l'espace

opposition avec les hommes, visages cachés, lignes droites et cassantes, casqués, évoquant la destruction, la violence, l'agressivité. On distingue une graduation dans la peur joue insouciante. La jeune femme saisie de stupeur. Enfin, les mères le visage déformé par la terreur Le groupe de soldats (machines armes et leur technicité aberrante (trois trous au bout des fusils non aligné Les carapaces symbolisent l'aveuglement idéologique. politique, dissocié des autres, visage découvert donc conscient

organisées par paires de contrastes, afin de produire une idée d'équilibre. Dans cette œuvre, le visage qui est l’élément dominant, occupe la partie centrale de la toile. Les yeux sont à la hauteur de la ligne d’horizon qui partage le tableau en deux parties. Le point de vue est frontal. La lumière se positionne sur son visage, plutôt du côté du bandage. Autour, plus précisément à droite de son visage, la lumière n’y parvient pas. On en conclut donc que la lumière met en avant le bandage de Van Gogh