Vishnou

armes s’il est combattant ou ses instruments s’il est soignant, et se construire ce qui s’appelle un avatar. Le terme d’avatar désigne, dans la mythologie hindoue l’ « Incarnation du dieu Vishnou ou d'autres divinités de la religion hindoue. » Le sanglier peut ainsi être un des avatars de Vishnou. « Depuis Vishnou jusqu'à Krishna, et jusqu'à Bouddha, qui devança Jésus d'au moins huit siècles, c'était le Verbe de Dieu que les Indiens disaient adorer dans ses avatars successifs. » (TLFi). Ces diverses

Le Mahabharata présente la Grande Histoire de l’Humanité, le cycle des erreurs humaines. Tout commence par une trimurti, composé de Brahma, le créateur, Shiva, le destructeur et Vishnou, le préservateur. Ce dernier envoie son huitième avatar, Krishna, pour préserver le Dharma sur terre, et ainsi l’ordre du monde. Le Dharma est une notion morale portant sur l’accomplissement primordial de la tâche pour laquelle chacun est fait, et c’est sur ce principe qu’est articulé le Mahabharata. Cela est bien

la société, l’homme et le divin. Le Ramayana et le Mahabharata, traitent du combat de l’homme et de son humanité. On parle souvent de la trilogie, Brahma, créateur, Vishnou, le préservateur, Shiva, le destructeur. C’est plus complexe, plus beau, plus clair. On parle souvent de la trilogie, Brahma, créateur, Vishnou, le préservateur, Shiva, le destructeur. C’est plus complexe, plus beau, plus clair Brahma, crée toutes les formes. Mais il s’interroge, qui est-il et pourquoi ? L’absence

éternelle. • L'âme intègre un autre corps. • Cycle infinie de renaissances (samsara). Philosophie
Temps est cyclique comme une roue.
L'existance dans le temps n'a pas de début ni de fin.
Dieu qui génère le monde : Brahma.
Dieu qui le maintenant : Vishnou.
Dieu qui peut le détruire : Shiva. Cycle des réincarnations
Karma.
Immortalité de l'âme.
L'homme ne peut se libérer de ce cycle qu'en atteignant la sagesse suprême a l'issue d'un long apprentissge 
Amrta : Sa propre immortalité.
La roue
Le cours

religions. Le Bouddhisme est donc plus une philosophie de la sagesse qui fait appel à la raison et à la compréhension et non à la foi aveugle. Il n’y a ni prophète ni dogmes établis mais des traditions orales avec des divinités (Shiva, Krishna, Vishnou). Cependant, au fil du temps, l’Hindouisme a pris en compte les croyances venues d’envahisseurs mais les Hindous assimilent leur religion à un ensemble de croyances, de sagesses et de rites, la valeur suprême étant l’ahimsâ, ordre socio-cosmique éternel

dieux ou de la déesse. Ainsi, dans l’antiquité, Rama puis Krishna sont présentés dans les textes sacrés comme des incarnations de Vishnou. De nos jours, une sainte femme comme Ammachi est vénérée comme un Avatar de la Mère Divine, tout comme l’étaient Anandamayee Ma, ou la « Mère de Pondichéry ». Dans le sud de l’Inde, Saï Baba se présente comme un nouvel avatar de Vishnou et Meher Baba déclarait : « Je suis l’avatar ». La sainteté est une fusion avec le divin, et celui qui réalise l’unité de sa conscience

la tortue (seconde incarnation de Vishnou) surmontée d’un éléphant. Ainsi, la descente de la tortue se situe immédiatement après le déluge : « Vishnu apparut à nouveau sous la forme d’une tortue pour récupérer les choses les plus précieuses perdues lors du déluge. Les dieux et les demi-dieux employant le grand serpent Vestige comme une corde, barattèrent l’océan de lait. La montagne lente leur servit de manche. Ils ne purent arriver à leurs fins que lorsque Vishnou, prenant la forme d’une tortue, descendit

forme d’un seul dieu. Ce dieu personnel a différent nom donné par les hindouistes. Mais le nom qui est récurent est celui de Ishvara ou Dieu Suprême. Bien qu’il le soit, dans le culte, on s’adresse toujours à un des dieux de la Trimurti : Brahmâ, Vishnou et Shiva. Ils sont les dieux dits personnels les plus connus. Brahma Il correspond à l’action créatrice. Il serait né dans une fleur de Lotus. Cette fleur proviendrait du cordon ombilical de Vishnu. Il tient les quatre Védas dans chacune de ses

le mal. -On le célèbre en février et mars. Il s’agit d’une sorte de carnaval très joyeux qui marque le début du printemps. Les gens allument des feux, ils s’arrosent avec de l’eau colorée pour célébrer la victoire du prince Prahlada, un dévot de Vishnou sur une démone du nom de Holika qui a été précipitée dans une fournaise de feu. -Cette fête appelée «fête des couleurs», correspond à l’équinoxe du printemps. En Inde, cette journée-là, l’homme le plus âgé de la famille asperge d’eau colorée chaque

l'Agung (3142m). C’est le « temple-mère » de l’île, un grand pôle de pèlerinage où toutes les déités du panthéon balinais sont représentées même s’il est centré autour des trois grands temples dévolus à latrimurti, la trinité hindouiste  (Shiva, Vishnou et Brahma).  Il regroupe 23 sanctuaires étagés sur 7 terrasses. Les toits en chaume des pagodes sont appelés "merus". Sur les temples le svastika hindou (mot sanskrit «de bon augure») Dans certaines religions antiques, symbole de paix et de bonheur