Vénalité Occulte

partir du 14 ème, à la fin du 14ème, on recherche la stabilité des fonctions et il existe une volonté d’appropriation. La réalité de la patrimonialité revêt deux aspects : la vénalité et l’hérédité. a) La vénalité des offices Elle consiste en la transmission des offices entre vifs, moyennant finance. - la vénalité occulte : dès lors que les officiers vont acquérir l’inamovibilité de leurs fonctions, ils vont chercher à en faire bénéficier un tiers ; Pour pouvoirs transmettre leur charge à

conformément à la close : « l'officier est nommé tant qu'il nous plaira » patrimonialité s'affirme en 2 temps la vénalité, occulte puis officielle. A partir du 14e siècle un certain nombre d'officiers sollicitent du roi la possibilité de transmettre leur charge soit à leur descendants soit à un étranger moyennant finance. Le roi accepte sans en tirer profit. La vénalité occulte va se répandre à d'autres charges plus importantes au moyen d'une procédure inspiré du droit canonique la resinatio

bien personnel. Au 15e siècle et au début du 16e, deux principes émergent : celui de la vénalité et celui de l’hérédité de l'office. La vénalité est le résultat d’un mécanisme repris de la doctrine canonique (resignatio in favorem). Le roi tolère cette pratique, qu’un texte vient autoriser. Elle se produit uniquement à 40 jours au moins avant la mort de l'officier (évite l'hérédité). La vénalité est occulte car elle n’est pas fondée sur un texte juridique mais plutôt sur une pratique que le roi

de Satan.● Ce qui est positif (les repentirs) devient négatif, puisque c’est associé à notre lâcheté.→ Il est tiraillé entre le péché et le ?idée de noirceur Vers 6 : On se fait rembourser ses aveux en achetant la rédemption vénalité de l’homme, qui n’avoue ses péchés qu’en échange d’une contrepartie. Ce vers est assez mystérieux : qu’est-ce que le confessé obtient, en échange de ses aveux ? Manifestement, il s’agit d’un salaire élevé, comme l’exprime l’adverbe « grassement

que les agents e l’autorité publique sont enclins à consolider leur situation personnelle et à s’assurer les meilleurs garantis possible. Durant l’Ancien régime, cette évolution est passée tout d’abord par la stabilité des offices ensuite par la vénalité et l’hérédité. Un officier est un agent royal qui occupe une charge royale conféré par une lettre de provision d’office. Se sont des lettres qui émanent du Roi et qui sont enregistrées par une cour souveraine. L’office est une fonction publique

devient un bien, il tombe dans le patrimoine de l’officier. On ne devient pas officier par élection ou, comme c’est le cas actuellement pour les fonctionnaires, par concours. L’officier achète son office, sa charge. L’Etat se fait donc vendeur. (vénalité des offices) Le mécanisme ne va pas sans inconvénients, et il a ses effets pervers. Inamovibles et héréditaires, véritablement titulaires de leurs emplois, les officiers sont de petites puissances indépendantes, volontiers frondeuses au XVIIIe siècle

patrimonialité de l’office.Section 2 – La patrimonialité des officesLe développement de la patrimonialité est lié à la consécration du caractère vénal de l’office. Le point de départ de cette patrimonialité est la vénalité officieuse, la vénalité occulte. Elle est introduite au XIVe siècle par les officiers. A partir de l’inamovibilité de fait, les officiers sollicitent le roi pour avoir l’autorisation de transmettre leur charge contre le versement d’argent. C'est une nouveauté dans

peinture ne vaut que par ses qualités plastiques. Comment peut-on concilier ces deux points de vue ? - Souligner le fait que les éléments purement plastiques ont toujours été présents dans la peinture classique, mais qu’ils étaient plus ou moins occultés par l’illusion mimétique qui présidait à la fonction de représentation du réel, au discours. Ce que Zola appelle, c’est la possibilité d’un regard pur, sur une peinture forcément “pure” elle aussi. 2. Après la visite • Approche littéraire

un bien, il tombe dans le patrimoine de l’officier. On ne devient pas officier 8 par élection ou, comme c’est le cas actuellement pour les fonctionnaires, par concours. L’officier achète son office, sa charge. L’Etat se fait donc vendeur. (vénalité des offices) Le mécanisme ne va pas sans inconvénients, et il a ses effets pervers. Inamovibles et héréditaires, véritablement titulaires de leurs emplois, les officiers sont de petites puissances indépendantes, volontiers frondeuses au XVIIIe siècle

semble-t-il, à souhait. Cette corruption institutionnelle, exercée par des membres de l’appareil d’État aux divers échelons, (des « Grochabrak » ou « Granmanjè » aux « petits rongeurs ») 3, s’adjoint pour se pérenniser, des complicités, affichées ou occultes, de groupes économiques. Des alliances structurelles De larges secteurs de l’oligarchie locale (foncière ou négociante, respectivement communément appelées noire ou mulâtre) participent, en effet, dès nos origines, au pillage du Trésor. 2 3