Vénalité Occulte

(satire de la justice ; critique des privilèges ; libertinage et ordre social ; critique de la situation de la femme au XVIIIème siècle ) ETUDE TABULAIRE Etant donné le projet de lecture de la pièce, à savoir, la relation MAITRE/VALET, nous avons occulté dans ce tableau les personnages qui n'interviennent pas directement dans cette relation. Acte I SCENE Le comte la comtesse figaro suzanne chérubin marceline bartholo bazile 11sc 1,2,3,4 5,-6,7 0 0 1,2,3, 1,5,6,7, 7, 3,4,5, 3,4,5 0 0 8,9,10,11 8

des privilèges ; libertinage et ordre social ; critique de la situation de la femme au XVIIIème siècle )                     [pic] [pic] ÉTUDE TABULAIRE Étant donné le projet de lecture de la pièce, à savoir, la relation MAITRE/VALET, nous avons occulté dans ce tableau les personnages qui n'interviennent pas directement dans cette relation. Acte I |SCENE |Le comte |la comtesse |figaro |suzanne |chérubin |marceline |bartholo |bazile | |11sc |1,2,3,4 5,-6,7 |0 |0 |1,2,3, |1,5,6,7, |7, |3,4,5, |3,4

que j’entretenais soigneusement. Enfin, un jour le médecin déclara qu’il allait le soumettre à une épreuve décisive de laquelle il espérait une solution favorable. “J’avais si bien su être persuasif, j’avais si bien su aussi l’entourer d’influences occultes, que l’homme ne repoussait plus l’idée de guérison et lorsqu’après une série de remèdes provoquant des vomissements abondants, nous lui montrâmes le serpent qu’il était censé avoir rejeté, notre malade se trouva subitement soulagé. “S’il lui arriva

fait tatouer ces mots : Achetez de l’Universelle, aux petits coins les plus secrets et les plus délicats des dames aimables ». Le désir féminin se manifeste dans l’admiration pour les gagnants, la soumission au vainqueur ou plus sordidement dans la vénalité des relations. Les Chuchu, Germaine Cœur et autres théâtreuses parasites sont accomplies dans le personnage anecdotique de Madame de Jeumont, celle qui avait tarifé autrefois sa nuit d’amour avec l’empereur à cent mille francs, celle que Saccard

lancée, une nouvelle société par actions est fondée. La maquette est repensée, la photo devient plus présente = le quotidien est relancé et atteint 80000 ex. En dix ans, L’Huma a publié 2650 articles de Jaurès, près d’un par jour ! ] Ravages de la vénalité : la France est le pays le moins honorable (lire Giraudoux, La Folle de Chaillot) : « l’impartialité entre le réel et le faux », pour raison de concussion secrète, est un trait fréquent de cette presse. Parallèlement à l’essor de la presse politique

connaissent la vérité incarnée par le chef. Les tables des commandements sont publiques et nul n’est censé ignorer la loi. La secte ne connaît pas la transparence tribale. Le gourou transmet au compte -gouttes les précieuses directives émanant de forces occultes fréquemment capricieuses. Le type de changement proposé est arbitraire. Il dépend de la teneur versatile des augures du gourou. Certes, la culture sectaire est l’apa nage des innombrables sectes religieuses et politiques qui évoluent en catimini

fait tatouer ces mots : Achetez de l’Universelle, aux petits coins les plus secrets et les plus délicats des dames aimables ». Le désir féminin se manifeste dans l’admiration pour les gagnants, la soumission au vainqueur ou plus sordidement dans la vénalité des relations. Les Chuchu, Germaine Cœur et autres théâtreuses parasites sont accomplies dans le personnage anecdotique de Madame de Jeumont, celle qui avait tarifé autrefois sa nuit d’amour avec l’empereur à cent mille francs, celle que Saccard

sera un peu républicaine. Jusqu'en 1808 on voit sur les documents officiels cette entête «  république française napoléon empereur ». On voit revenir le droit divin , le catéchisme impériale est imposé aux élèves français, mais il ne faut pas occulter le passé républicain , car ils sont clairement exprimés à l'époque . Napoléon est le fils de la révolution , il s'en rappellera en 1815 à Waterloo. C'est un générale , qui est porté par l'armée impériale . Pendant ce sacre , on a mis en place

jurisconsulte, ni philosophe politique qui l’ait défini ». Loyseau va définir la souveraineté : « la souveraineté de seigneurie publique,de puissance absolue… sans degré de supériorité,… sans limitation de temps,… sans exception de personne ou de chose occulte ». « La souveraineté c’est le plus haut degré de puissance publique qui appartienne à l’E, elle doit être parfaite, indivisible ». Cette dernière qualité s’opposait directement aux théories issues d’Aristote qui portait sur les gouvernements mixtes

promotion sociale et ainsi un soutien au roi, et d’atténuer le pouvoir des grands par le « règne de la vile bourgeoisie ». On note cependant une situation complexe entre « public » et « privé ». Il faut attendre 1604 pour voir clarifier le problème de la vénalité et de l’hérédité des offices. En 1534, le roi admet la désignation par un titulaire d’office, de son successeur. Sous Henri III certains offices sont déclarés Vénaux héréditaires. Il y a donc une patrimonialisation de l’office et une déféodalisation