Philosophies: Dissertation finale
Dans la vie quotidienne, plusieurs personnes ainsi que plusieurs philosophes croient que les sens sont d’une grande nécessitée à la connaissance générale pour des raisons multiples. Un groupe de gens s’opposent, bien sur, en pensant que les sens n’ont aucune utilité quel conte face à la connaissance dans la vie. Par exemple, certains travailleurs penseront connaitre la fonction de leur métier, car ils ont pensés à comment le faire et que c’est ainsi qu’ils peuvent dirent en toutes certitudes qu’ils ont la connaissance du leur fonction, mais beaucoup d’autres penseront que c’est par leur sens comme entendre une personne lui expliquer le travail ou bien s’exercé à la tâche avec leurs sens comme le touché pour un constructeur ou l’odora pour le fleuriste. Une question est posée ici. Les sens sont-ils nécessaires à la connaissance ?
Certains philosophes s’attaquent à la question en précisant leur point de vue face à elle. Un de ceux-ci est le philosophe André Comte-Sponville. Il est un philosophe matérialiste, rationaliste et humaniste français né en 1952. Face à la question, il souligne que connaître les choses, c’est toujours les percevoir ou les penser, elles le sont pour nous et que n’avons aucun accès direct au vrai, car nous pouvons les connaitre que par l’intermédiaire de notre sensibilité, de notre raison, de nos instruments d’observation et de mesure, de nos concepts ou de nos théories. Cela appui justement le célère philosophe Platon qui souligne également que la connaissance ne s’agit pas de l’idée au sens contemporain du terme, mais plutôt de l’être immatériel invisible, d’une parfaite objectivité, de la chose sensible qui n’en est qu’un reflet, qu’un ombre. Ceux-ci prétendent alors que les sens ne sont pas nécessaires à la connaissance.
Ce sont deux philosophes qui se trompent sur la réponse à la question. Aucune personne ne devrait penser ainsi, car les sens sont indispensables à l’apprentissage et à la connaissance.