99 Francs analyse
Tout d’abord, la publicité s’infiltre partout. La télévision, la radio, les journaux, les transports en commun, sans parler des objets qui eux-mêmes n’y manquent pas. Elle réussit approximativement à tout coup de déterminer ce qu’une personne désir. Elle y parvient en usant des traits de l’homme desquels il est le plus vulnérable, comme les besoins, les émotions, les valeurs, etc. Une annonce est créée en jouant de ces cordes sensibles en favorisant des produits préalablement retenues des goûts et préférences profilées et sondées des gens. Donc, l’omniprésence de la publicité et les caractéristiques sensibles de l’humain qu’elle renvoie, laisse celui-ci presque condamné à l’achat. Le concepteur-rédacteur publicitaire, Octave Parango l’affirme en d’autres mots : « Plus je joue avec votre subconscient, plus vous m’obéissez.» (Beigbeder, 2000, p. 18). La publicité consiste à la réduction de l’être humain pour en faire une chose qui consomme. « Nous vivons dans le premier système de domination de l'homme par l'homme contre