Adhuc stat
Aider le médecin intérieur
Il nous faut bien constater, que la médecine conventionnelle, « pasteurisée », préfère étudier les « maladies » qu'elle répertorie, classe, décrit selon divers symptômes, plutôt que de s'intéresser à l'être humain, avec ses différences, ses particularité, ses complexités, ses modes de culture, d'alimentation, de penser...
Un symptôme, quel qu'il soit, n'est qu'un message, un signe, la partie émergeante d'un iceberg, souffrance cachée, enfouie au fond de l'inconscient, au cœur des mémoires cellulaires ou mal en sommeil, tapis au dans tel ou tel organe... Il nous semble donc important qu'un remède apporte une globalité thérapeutique, une quintessence, capable de corriger les déséquilibres, visible et invisible.
Les médicaments de synthèse de la médecine conventionnée, ne sont pas reconnus par l'organisme. Au mieux ils décapitent momentanément le mal en ignorant la ou les causes ; ils déplacent le ou les symptômes sur d'autres organes et cela devient... « une autre maladie » avec d’autres pspécialistes, avec d'autres mots compliqués, avec d'autres maux…
Ces molécules chimiques provoquent des perturbations, parfois insidieuses, qui se révèlent bien plus graves que le mal initial, à plus ou moins long terme.
Seules des substances complètes, « vivantes », porteuses des vibrations et des impulsions de leur règne peuvent intervenir et remédier au déséquilibre, sans faire de dégât. Ces remèdes n'agissent pas contre le ou les symptômes ; ils n'agissent pas contre la « maladie » mais ils soutiennent et stimulent l'organisme dans l'épreuve.
Les élixirs spagyriques agissent et aident à la guérison, sans aller à l'encontre de l'apprentissage que la maladie apporte à l'organisme.
Une approche thérapeutique holistique se fait sur plusieurs plans. Il n'y a donc pas de remède miracle mais une synergie favorable à rééquilibrer l'être à tous les niveaux.
Esprit, âme et corps sont intimement