A. Situation initiale du récit :

Le roman de Camus débute par une citation de Daniel de Foe :

"Il est aussi raisonnable de représenter une espèce d'emprisonnement par une autre que de représenter n'importe quelle chose qui existe réellement par quelque chose qui n'existe pas."

Cette citation introduit la situation d'emprisonnement des habitants de la ville d'Oran en Algérie, pays natal de l'auteur. Daniel de Foe a lui aussi abordé ce thème dans son roman Robinson Crusoé qui est bloqué sur une île avec un sauvage portant le nom de Vendredi. Il espère en être sauvé, exactement comme les acteurs du roman de Camus.

Le Roman de Camus commence par une description minutieuse de la ville dans laquelle ont lieux les événements. Il décrit cette ville comme un endroit laid mais tranquille ainsi que ses habitants qui ont chacun leurs repères et leurs habitudes. Aucun d'eux ne cherchent à donner un sens à leurs vies.

Le narrateur qui ne dévoile pas son identité explique qu'il tire ses informations de différentes sources. Il utilise son témoignage personnelle (ce qui affirme qu'il est l'un des acteur du roman), ceux d'autres victimes de la mort noire ainsi que de nombreux manuscrits qui lui sont tombé entre les mains.

Le médecin Rieux découvre des rats morts dans les rues, d'abord en petit nombre mais ils sont de plus en plus nombreux. Cette évolution est progressive mais flagrante. Tous les rats de la ville remonte à la surface pour mourir et succombe tous rapidement. Après cette épidémie qui touche tous les rongeurs, des humains commencent à tomber.

B. Situation finale du récit :

Après un an de lutte et de séquestration les rats sortent à nouveau mais ne meurt pas, la peste disparait aussi mystérieusement qu'elle est apparue et les habitant d'Oran reprennent le cours de leurs vie mais pas sans un poids sur le coeur en souvenir des victimes de ce fléau.

On apprend à la fin du roman que Rieux en était le narrateur. Il a de nombreux points communs