Analyse de situation
Il présente plusieurs symptôme : Très fort encombrement bronchique, hypertension à 7 → suspicion d’embolie pulmonaire, syndrome occlusif qui lui à valu quelques jours avec une sonde naso gastrique, phlébite jambe G, escarre phase 2 au talon droits, érosion importante au niveau du sacrum.
Traitement connu : Plaque confeel aux talons pour son escarre, perf' 1L de sodium, Arixtra, Paracétamol IV → diarrhée → smecta, Morphine, imodium, eosine pour l'érosion du sacrum à cause des diarrhée, sonde urinaire, bas de contention pour sa phlébite. La liste n'est pas complète puisque je n'ai pu avoir accès à son dossier à temps.
Situation : Il s'agit donc d'un patient très mal en points, non valide et peu coopératif (quelques insultes envers les aides soignantes, ou encore mouvements pour arracher sa perfusion → attaché). A l'heure du repas, l'aide soignante et moi même décidons de faire manger Monsieur X et de lui faire prendre ses médicaments. Ce qu'il faut savoir c'est que la veille, Mr venait de se faire retirer une sonde naso-gastrique. Donc, il n'est pas censé manger énormément. Les médicaments sont avalés sans probème mais Mr rencontre des difficultés quant à la prise du repas. Nous décidons donc de donner seulement de l'eau gélifiées et un yaourt, certainement plus frais et plus facile à avaler. A ce moment, la fille de Mr entre dans la chambre et voyant le plateau repas entier de son père, décide de prendre le relais et de lui donner à manger à notre place. Seulement, l'aide soignante averti sa fille en lui disant que après une sonde naso gastrique, il est normal que la réalimentation soit difficile. Malgré cette précision, la fille de Mr X décide tout de même d'aider son père à