Situation : V a mis en garde et a fait la leçon à M de se méfier de Prévent, un séducteur qui s’est déjà jouer de 3 femmes en même temps. Ici, on a la réponse de M à la mise en garde de V. M se moque de V, le méprise.
-C’est une lettre de confession où la M présente son parcours.
« Je suis mon ouvrage »  La M montre qu’elle doit son éducation qu’à elle-même  Elle proclame que c’est elle-même qui s’est formée.
Elle est orgueilleuse, prétentieuse. Un de ces moteurs est la vengeance.
-Elle commence par persuader de sa supériorité : *Par rapport à Valmont *Par rapport aux hommes
-p221 : Elle compare le parcours d’un homme (dernier paragraphe : « En effet »)
 Inégalité fondamentale entre homme et femme car la femme ne doit pas s’afficher.
-p222 : « Sa prudence doit [...]rompu »  Elle a un amant Belroche et pour s’en débarrasser elle va l’emmener à la campagne et le couvrir de tellement d’amour qu’il finisse par partir de lui-même.
 Elle donne l’exemple qu’un homme peut quitter une femme mais que les femmes n’ont pas le droit, donc elles tentent des stratégies pour que l’homme se dégoûte et s’ennui, pour que lui-même rompt avec elle.
Elle commence sa lettre par une comparaison homme/femme.
-p222-223 : M veut se distinguer des femmes à sentiments, des femmes sensibles.
« Ah ! Gardez vos conseils (…) n’est dût qu’à la divinité »
« Ces femmes à délire, et qui se disent à sentiment »  sensualisme (=toutes connaissances provient des sensations)
-p223 : « Tremblez […] futur » , « femme à délire, sensible, de sentiment »
Les femmes sont dans la vérité du sentiment et s’y soumettent
La femme dite naturelle (=La présidente de Tourvel)
Les femmes n’ont pas le contrôle, elles sont soumises
-Le dénouement du vocabulaire religieux par le libertin –> L’amant devient également l’ennemi –> vocabulaire de la guerre.
P222 : « Né pour venger mon sexe et maîtriser le vôtre »  désir de vengeance
P223 : « J’ai sur en profiter pour observer et réfléchir