la dimension physique du conflit on a donc affaire à une dramaturgie du conflit entre Créon qui représente le respect contre Antigone, une jeune adolescente.
-Créon est en situation de demandeur bien que hiérarchiquement supérieur, car il veut qu’Antigone renonce à sa révolte, renonce à enterrer son frère.
-Les pronoms de la 2ème personne par lesquels Créon désigne Antigone afin d’attirer l’attention, il utilise également l’impératif L45 et L39 « ai pitié de moi » -> fonction conative qui montre la position supérieur de Créon.
-Ce qui montre aussi cette fonction conative du langage sont les interrogations comme à la ligne 68.
-Tout sert à Créon à garder son calme face à Antigone L25 sauf à la L45 quand il la secoue brutalement.
-Ce qui marque le demandeur sont les 2 tirades de Créon et essaye d’éviter la rupture du dialogue.
-Antigone au contraire est révolté et jeune, bien que reine, se présente comme un bloc fermer refusant la communication, et cette posture de fermeture ce caractérise par des répliques plus brève L3 et L43 ces phrases affirment une détermination d’Antigone, elle est catégorique, elle utilise pour cela la négation récurrente du « non » L43 ou un refus catégorique L69 qui révèle la rébellion d’Antigone.
-Elle affiche une hostilité pcq elle est dans le défis car les rare réplique ou elle développe un peu plus c’est pour juger Créon avec froideur et dureté L3, ces réplique montre qu’elle est entière et qu’elle a un orgeuille.
-Elle se tient résolument à distance face au refus de changer M71, cette phrase négative a un refus catégorique de comprendre.
-«Je ne veux pas comprendre, c’est bon pour vous. Mais je suis là pour autre chose que pour comprendre. Je suis là pour vous dire non et pour mourir.» le «et » montre le rapport de conséquence et sait quelle va payer par sa vie.
-Ce qui atteste sa conscience de domination est ce qu’elle affirme à la L16, ce qui rappel la position de demandeur de Créon.
-Cette posture de domination se caractérise aussi