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Dubaï est aussi le nouveau Las Vegas dans la théorie de l'architecture
Le climat à Dubaï est subtropical aride. Le ciel y est bleu en permanence hiver comme été. Le mois le plus froid est celui de janvier : il fait alors entre 12 et 25 °C et il pleut même quelquefois. On atteint fréquemment les 30 degrés à partir de la mi-février. A la mi-mars, les températures deviennent caniculaires et pendant les mois d'été, la température peut atteindre 50 degrés avec un taux d'humidité important. (néanmoins les précipitations sont nulles pendant ces mois-là).
Pour parler d'hostilté pour Dubaï
Dubaï en 1990 avant la folie
La même rue en 2003
Wiki
http://halshs.archives-ouvertes.fr/docs/00/37/51/55/PDF/Dubai_metropolisation_Nice_1_.pdf
Dubaï, naguère bourgade somnolente de part et d’autre de sa
« crique », une ria pénétrant de quelques kilomètres dans l’intérieur des rivages désolés du Golfe Persique, est passée de 59 000 habitants en 1968 à 674 000 officiellement en 1995. Sa population atteindrait aujourd’hui près d’un million d’habitants.
Cette croissance fulgurante est due à la découverte de champs pétroliers off-shore à la fin des années 60 et à la mise en œuvre d’une stratégie volontariste de diversification économique, dès avant l’ère pétrolière.
Un hub portuaire aux tout premiers rangs mondiaux.
En dépit de conditions naturelles difficiles et d’une situation peu propice à l’intérieur du Golfe Persique, Dubaï a lié sa prospérité au développement de ses infrastructures portuaires.
Quatre ports aux rôles complémentaires s’échelonnent du nord au sud de la ville ; les anciens ports de Hamriya et de la Crique ont été approfondis et modernisés ; le port de la crique, qui accueille les dhows au pied des tours de verre et d’acier assure les réexportations vers l’Iran.
Mais Dubaï s’est équipé successivement dès les années 70 de deux ports commerciaux modernes (Wirth, p. 87 et sq.) :
- Port Rachid, juste au sud de