Article journal "elle s’appelait sarah."
Le trajique dans toute sa splandeur.
« Elle se débattit de toutes ses forces, bec et ongles, griffant, donnant des coups de pied, et réussit à revenir devant la porte ouverte. Au fond de la cachette, elle aperçut un petit corps immobile et recroquevillé, puis le visage chéri, bleui, méconnaissable.
Elle s’effondra en criant.» Qui est ce corp recroquevillé ? Voulais vous le savoir ? Ça se passe dans le livre « elle s’apelait sarah .
Bouleversant, c' est le terme approprié. Ce roman m' a bouleversée, passionnée, m' a subjuguée du début à la fin. J' ai l' impression de m' être totalement imprégnée des personnages, des scènes. Il est d' une beauté admirable, j' aurai voulu qu' il soit bien plus rallongé, qu' il s' étire en descriptions diverses, il y aurait vraiment matière à en écrire davantage et je ne m' en serai jamais lassée.
Le principal sujet de ce film est la séquestration de nombreux juifs vivant à Paris, puis de leur déportation à Beaune-la-Rolande, camp de concentration français situé dans le Loiret.
Une petite dévouée à sauver son frère.
Inquiète pour son petit frère toujours enfermé dans sa chambre, elle parvient à s’évader, est recueillie par des valeureux paysans puis retournent dans son appartement avec la clé si précieuse pour le délivrer. Malheureusement, elle arrive trop tard. Toute sa vie, elle sera hantée par le regret et la tristesse, et se sentira à jamais responsable, alors qu’à l’origine, elle avait voulu le sauver. Mais qu’est-il arriver ? Pourquoi l’avoir enfermé ? Sur le plan de l'intrigue, la psychologie de chacun des personnages, la description des évenements, l'ambiance de l'époque, l'histoire même de Sarah, son devenir, je ne trouve rien à dire, je trouve tout