Les attaques personnelles indirectes :
En politique, tout est bon pour parvenir à ses fins. Malheureusement, un de ces principaux moyens est d’attaquer personnellement son adversaire.
On distingue les attaques personnelles directes (voir le « ta gueule de » de Cohn Bendit) et les attaques personnelles indirectes. Les indirectes sont souvent préméditées et sont surtout très lâches. Au contraire des attaques personnelles directes qui sont souvent dites sur le coup de la colère et n’ont pas de but précis. Les attaques personnelles indirectes sont insinuées à l’aide de sous-entendus qui n’ont généralement aucunes limites.
Comme le montre la vidéo « invitée : Marine Le Pen « ; les attaques directes et indirectes peuvent être mêlées. Dans ce cas précis, les indirectes prennent le dessus. Elle ne se trouve pas en face de Mr. Sarkozy mais elle dit un maximum de calomnies ou de déformations de vérités pour le discréditer. L’attaqué n’étant pas là il ne peut pas se défendre d’où la lâcheté de ces attaques. Les déformations de certaines vérités sont une grande part des attaques personnelles indirectes en politique, en effet ces attaques se basent sur une fausse interprétation malgré tout plausible mais surtout voulue d’un sujet politique. Cela va faire enrager l’adversaire politique qui sait très bien que c’est faux et il va s’éparpiller selon le souhait de l’attaquant. L’exemple le plus approprié dans cette vidéo est le moment où Marine Le Pen attaque indirectement N. Sarkozy sur le fait qu’il ait supprimé la double peine.
Ce genre de discours uniquement basés sur des attaques personnelles et des amalgames appauvrissent grandement le débat