Au bonheur des ogres / le grand cahier
Idée principale # 1 : Dans les deux œuvres, l’éducation des enfants est n’en est pas une très conventionnelle
Idée secondaire 1.1 : Klaus et Lucas, s’auto-éduquent d’une façon très particulière. Preuve : «Nous décidons d’endurcir notre corps pour pouvoir supporter la douleur sans pleurer.» p.22
Idée secondaire 1.2 : Dans Au bonheur des ogres, la façon dont les enfants Malaussène sont élevés est peu conforme à la méthode régulière. Preuve : « [Thérèse parle] Ben, Jérémy fait chier, il ne veut pas faire ses devoirs! [Ben parle] Surveille ton langage, Thérèse, ne parle pas comme ton frère.» p.26 « […], la course-fuite de ma mère, […].»p.103
Idée principale # 2 : Dans Le Grand Cahier et Au bonheur de ogres, les jumeaux et les enfants Malaussène ont des manières très hors-normes d’aider leurs proches en difficulté.
Idée secondaire 2.1 : Dans Le Grand Cahier, Klaus et Lucas, malgré leurs comportements parfois monstrueux, sont des enfants toujours prêts à faire le mal pour apporter le bien à leur entourage. Preuve : « […] nous raconterons à tout le monde ce que vous faisiez à Bec-de-Lièvre.» p.69, « Peu importe que ce soit vrai ou faux. […] Les gens aiment le scandale.» p. 70
Idée secondaire 2.2 : Dans Au bonheur des ogres, les enfants de la famille Malaussène, surtout Jérémy, sont des enfants qui n’hésitent pas à commettre certains mauvais gestes, qu’ils ne feraient pas nécessairement en temps normaux, afin d’aider à prouver l’innocence de Benjamin. Preuve : « Comment le «criminel» introduisait les bombes à l’intérieur du Magasin! » p.222, « Fabriquer une bombe pendant les cours, sans que personne ne s’en aperçoive.» p.222
Dans Au bonheur des ogres de Daniel Pennac et Le grand cahier d’Agota Kristof il existe un thème commun à ces deux œuvres pour lequel il n’est pas très compliqué de faire des liens. Bien que ces romans ne racontent pas du tout la même histoire (une de la vie en temps de guerre et l’autre d’une enquête