D’une part, Harpagon est un personnage avare. Son argent est tout pour lui, tant qu’il la compare à sa vie entière. Dans le monologue, il parle de sa mort et que la seule manière de le sauver c’est de lui rendre son argent ou lui dire qui l’a pris. Ainsi ce passage l’exprime bien : «N’y a-t-il personne qui veuille me ressusciter, en me rendant mon cher argent, ou en m’apprenant qui l’a pris ?» Bref, Harpagon voit son argent comme son âme que s’il ne le retrouve pas, il menace de se suicider. De plus, Harpagon est prêt à marcher sur n’importe qui, même sa famille, pour trouver qui est le voleur de son argent. Il veut aller questionner toute la maison, fils, fille et lui-même. Ce passage relate bien ses faits : «Sortons. Je veux aller quérir la justice, et faire donner la question à toute ma maison; à servantes, à valets, à fils, à fille, et à moi aussi.» En résumé, ce personnage est tellement avare qu’il soupçonne tous ses proches, en passant même par lui, pour retrouver son fric qui mène sa vie.
D’autre part, Harpagon a une détermination. Il est déterminé à retrouver le coupable de ce vol absurde pour lui. Il va courir aller questionner la maison au complet pour aller chercher justice. Cet extrait l’explique : «Je veux aller quérir la justice, et faire donner la question à toute ma maison; à servantes, à valets, à fils, à fille, et à moi aussi. Que de gens assemblés !» Plus simplement, il est déterminé comme si sa vie en dépendait à retrouver le voleur. En outre, il a une détermination que justice soit donner au coupable que lorsqu’il croit que tout le monde part à rire qui sont tous complice. Harpagon s’écrit : «Allons vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes , des potences, et des bourreaux. Je veux faire pendre tout le monde ; et si je ne retrouve mon argent, je me pendrai moi-même