Bonjour,
Nous sommes les représentants de l’Algérie qui a rejoint la COP 21 cette année. Nous sommes aujourd’hui le huitième pays africain à avoir enfin adhérer à cette-dernière. Nous sommes ici présents afin de faire entendre la voie de tous nos compatriotes sur cette grande question qu’est le développement durable.

Notre objectif en rejoignant cette assemblée est de contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre en contrôlant nos rejet pour les faire passer de 22% à 7% d’ici 2030.

Pour y parvenir, nous comptons exploiter l’un des gisements solaire, géothermique les plus important de la planète, qui permettra d’alimenter une grande partie du pays grâce à son rendement de 5 milliards de Gwh/an.

Mais pour mettre sur pieds ce projet titanesque, nous aurons besoin d’une aide financière international. Nous jouons tous un rôle plus ou moins important dans la pollution de notre planète et parfois ce n’est pas les pays les plus pollueurs qui subissent les revers les plus lourds. La population Algérienne n’est pas majoritairement responsable de l’état de pollution que nous subissons actuellement.

Le réchauffement climatique et les nombreux risques qui y sont liés ne sont pas à prendre à la légère. La fonte des glaciers provoquera une montée importante des océans entrainant un déplacement massif de toutes les populations des pays côtier dont fait partie l’Algérie. Cette migration des populations entrainera de nombreux problèmes de chômage, de précarité d’identité et de violence pour les populations déplacés.

Attendons-nous à ce que l’économie d’aujourd’hui soit bouleversée d’ici 2100.
Les maladies proliférées par les insectes provoqueront des épidémies dû à une forte chaleur.
Et, le corps humain devra s’adapter à un climat plus aride.
Certains climato-sceptique vous diront le contraire, mais ne prenons pas de risques. Nous devons faire face à un changement mondial radical.
Nous allons mettre en place un système de transports en commun, toujours