biographie de l'auteur
Maître incontesté du récit de science-fiction, Ray Bradbury écrit tour à tour des romans, des essais, des nouvelles, des poèmes et des pièces de théâtre. Il quitte son Illinois natal avec sa famille pour l'Arizona, puis part à Los Angeles en 1934. Au collège, l'enfant noircit les pages de ses cahiers d'histoires fantastiques, et publie ses premiers récits en 1941, dans des magazines comme 'Weird Tales'. Son style onirique n'est pas au goût du public de l'époque et il doit attendre l'année 1945 pour être repéré par la prestigieuse revue américaine American Mercury. Celle-ci publie 'The Big Black and White Game', récompensé par le prix de la Meilleure nouvelle. Dès lors, l'auteur signe régulièrement des articles pour de nombreux périodiques tels 'Harpers', 'Mademoiselle' ou 'Reporter'. C'est en 1950, année au cours de laquelle sont publiées les 'Chroniques Martiennes' - sur fonds de critique sociale du McCarthysme -, que l'écrivain gagne la reconnaissance du public et de la critique. Son oeuvre la plus célèbre demeure 'Fahrenheit 451', roman dans lequel il est interdit à la population de lire et d'écrire.
Avis personnel :
Au début j’avais choisi de lire « Le meilleur des mondes » d’Aldous Huxley. J’ai commencé à lire ce livre mais celui-ci m’a déplu.
Mon choix s’est donc tourné vers « Fahrenheit 451 » et franchement je n’ai pas été déçue. Certes, j’y ai trouvé des points négatifs mais dans l’ensemble, ce livre m’a plutôt conquise.
Le livre ne se lit pas si facilement que je l’espérais, mais une fois que l’on est dans l’intrigue, on ne décroche plus.
Ce qui m’a beaucoup plu dans cette oeuvre, c’est que nous sommes en train de lire un livre dans lequel il nous ai dit que lire des livres c’est interdit.
Parfois, les éléments s’enchainent et on a un peu du mal à suivre.
Ce livre nous fait vraiment réfléchir sur la vision de l’avenir et sur notre société d’aujourd’hui : les écrans envahissent nos maisons.
Quand on y pense, ce