Bordeaux-marseille
MAMADOU NIANG, vous signez votre retour par un but à Saint-Etienne. Etes-complètement remis de votre blessure à l'épaule ?
M.N. : Je suis toujours en phase de reprise. Contre les Verts, je n'ai joué que mes trente premières minutes depuis plus d'un mois. Je manque donc logiquement de rythme. D'un peu de tout d'ailleurs. Mais je n'ai pas énormément perdu. Car je n'ai pas été arrêté pendant quatre mois. J'ai juste besoin d'enchaîner les matches.
Pensiez-vous être prêt pour disputer cette rencontre ?
M.N. : Non, moi je travaillais dur pour le match de Bordeaux. Mais je ne pensais pas jouer à Saint-Etienne.
Appréhendiez-vous les premiers duels ?
M.N. : J'avais peur de tomber sur mon épaule. Mais je ne dois pas m'arrêter à ça. Et puis sur mon but, je n'y ai pas du tout pensé.
L'an dernier, une fracture du pied avait perturbé votre saison. Craigniez-vous que cette situation se reproduise ?
M.N. : C'est différent. La saison dernière, je suis resté un long moment sans pouvoir jouer. Et quand je suis revenu, j'ai longtemps joué avec une douleur au pied. Cette fois, j'ai pu reprendre la course et le vélo car mon épaule ne m'empêchait pas de faire ces exercices.
Blessé, vous n'avez pas pu affronter Auxerre. Cette défaite juste avant la trêve a-t-elle été difficile à gérer ?
M.N. : Oui, ce fut assez difficile à vivre. Mais c'était encore plus dur pour ceux qui avaient participé à cette rencontre. La trêve a permis de digérer cette défaite. Et puis il y a eu nos deux victoires en coupe. Ça nous a permis d'oublier cette désillusion.
Dimanche, le championnat reprend ses droits. Avec un choc Bordeaux-Marseille. Quelles sont les ambitions de l'OM ?
M.N. :