Candide Le n gre de Surinam Voltaire
Introduction: Ce texte est extrait de Candide , conte philosophique éponyme écrit par Voltaire en 1759. Voltaire est un poète, écrivain engagé et un philosophe français qui s'inscrit dans le mouvement littéraire des lumières . Ses écrit satiriques et philosophique lui ont valut la prison et l'exil. Voltaire a écrit Candide pour dénoncer l'esclavage et l'atteinte au droit de l'homme et de la liberté.Le nègre de Surinam se situe au chapitre 19, et Candide rencontre un esclave noir mutilé qui va produire chez Candide un choc brutal et un retour à la réalité du mal nous nous sommes demandé à travers cet extrait, comment un récit fictif peut-il se mettre au service d'une cause pour dénoncer une réalité?
I. D'abord nous verrons les conditions affreuses des esclaves
II. Ensuite le réquisitoire contre l'esclavage
III. Enfin l'ironie de Voltaire
I. La description de l'esclave.
Le personnage est amputé « il lui manqué a ce pauvre homme la main droite et a jambe gauche [...]droite»
-Ses vêtements sont guenilles «n'ayant plus que la moitié de son habit»
-La position physique du nègres , ressemble plutôt a un animal qu’un humain «étendu par terre» et «j’attends mon maître»
-On découvre progressivement une réalité horrible , le registre pathétique est utilisé pour suscité l'émotion chez le lecteur.
-Avec le manque d'exclamation , on remarque que l'esclave emploie un ton neutre et sans pression. Il n'a pas de haine , n'est pas indigné de ce que l'on a pu lui infligé: il accepte son sort. «c'est l'usage»
-Avec cette expression Voltaire montre la légalité , il fait référence au code noir
-Au depart le texte emploie les pronoms personels «je et tu», et passe ensuite a la marque du pluriel avec «nous», qui englobe le gouvernement de Surinam et tout les esclaves.
-Candide a de la compassion qu'il exprime par des interjections comme «hélas; mon dieu» accompagné de nombreux point d'exclamation qui marque un sentiment de pitié de la