Candide
Candide chapitre VI
Introduction : Candide est un roman de Voltaire. Ecrit au XVIIIeme siècle pendant guerre de sept ans.
Voltaire utilise registre satirique pour faire satire= religion catholique et de la philosophie optimiste.
Dans se chapitre après le tremblement de terre de Lisbonne le peuple décide de faire un autodafé pour empêcher les tremblements de terre Pangloss et candide :soupçonnés d’être en désaccord avec Inquisition, tous étranger=intolérance de la religion (auteur mêle fiction et réalité).
Problématique :Comment voltaire dénonce la religion et la thèse optimiste par l’ironie ?
I Mise en scène d’un théâtre d’horreur
-point de vue de candide (naïf) : euphémisme =description des prisons « appartements d’une extrêmes fraîcheur, dans lesquels on n’était jamais incommodé du soleil. » .
-description d’un spectacle :on les déguises ils sont manipulés= marionnettes, déshumanisation ; cérémonie avec musique « belle musique »et sermon. Exécutions de 4 morts= on tue des hommes sans remords, sans s’apitoyer dessus (barbarie), comparaison de cette barbarie a un spectacle.
-magnificence de la guerre et l’inquisition, même désinvolture pour parler de la mort que dans le chapitre III.
II Dénonciation de l’église et de la philosophie optimiste
-l’absurdité de l’autodafé(=condamnation des hérétiques (ceux qui refusent la religion catholique)au supplice du feu.). Les hérétiques : « le Biscayen » soupçonné d’inceste, « deux portugais » soupçonnés d’être juifs ou musulmans.
-ironie de VOLTAIRE=donné une vision positive de l’autodafé pour mieux discrédité le résonnement qui est le même que celui de Pangloss :cause et effet non rien avoir. Satire de la religion catholique : démonstration que ces condamnations ne servent a rien prouve que la religion n’est que superstitions= l’inquisition assassine gratuitement des gens innocents.
Conclusion :dénonciation de l’horreur et de l’absurdité de l’autodafé à travers la